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| Le parcours réalisé |
Compostelle à vélo Juin 2023
Vendredi 2 Juin
Concarneau - Hendaye : 20 kilomètres à vélo
Concarneau - Hendaye : 20 kilomètres à vélo
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| Gare de Rosporden |
Bonjour à tous
Une première longue journée de train pour rejoindre mon camping à Hendaye.
Le voyage à vélo en train est toujours une aventure en soi !
Le premier TER pour Nantes est quasi vide et pas de soucis pour s'installer.
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| TER pour Nantes |
Par contre à Nantes il y a du monde. Nous sommes trois cyclistes, ce qui permet de discuter vélo une partie du voyage.
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| Intercités Nantes Bordeaux |
Arrivé à Bordeaux, j'ai une heure d'attente ce qui paraît large mais comme la voie est annoncée seulement vingt minutes avant et que je suis à l'autre bout de la gare par rapport à l'introuvable voie 1, grosse galère !
Je monte trois fois les escaliers et cours dans les couloirs. Je trouve le quai cinq minutes avant le départ et il est noir de monde. Heureusement l'emplacement vélo reste libre et je peux m'installer tranquille.
Ouf sauvé ! Ça c'est joué à peu et heureusement que je peux porter mon vélo et les bagages !
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| Gare de Bordeaux |
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| Escalier à Bordeaux |
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| TER pour Hendaye |
J'arrive à Hendaye à 20h00 et route le camping où m'attend avec une bière bien fraîche mon ami Concarnois Patrice en vacances dans le même camping ! Coup de bol car il y en a 11 en tout !
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| Hendaye |
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| Hendaye |
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| Les deux jumeaux |
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| La Rhune |
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| Une bonne bière locale avec Patrice |
Je m'installe et monte le Camp pour la nuit.
Départ de bonne heure demain matin pour Saint Jean Pied de Port et le col de Roncevaux.
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| Camping à Hendaye |
Samedi 3 juin
Hendaye - Col de Roncevaux : 88 kilomètres
Quelle surprise hier d'être dans le même camping que mon ami Patrice. Un réel plaisir de discuter un peu autour d'une bonne bière !
Départ matinal ce matin au chant des oiseaux à 6h45. Il fait très beau et déjà chaud !
Départ donc de Hendaye pour d'abord Saint Jean de Luz.
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| Saint Jean de Luz |
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| La Rhune |
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| On est bien au pays Basque |
Je passe ensuite par Saint Pée sur Nivelle et y fait une petite pause café.
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| Saint Pée sur Nivelle |
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| Pause café |
Je roule tranquille dans la vallée et pour l'instant tout va bien.
C'est au tour d'Espelette pour la visite et sympa, il n'y a presque personne ce matin.
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| Espelette |
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| Espelette |
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| Espelette |
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| Espelette |
Je prends ensuite la route de Saint Jean Pied de Port pour passer en Espagne par le Col de Roncevaux.
Il fait très chaud avec 30 degrés, ce qui pour un breton est beaucoup !
Beaucoup d'activités nautiques dans la Nivelle et dans la Nive ce matin.
Je suis arrivé à Saint Jean Pied de Port à 12h15.
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| Re pause café ! |
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| Le pays Basque, magnifique ! |
Beaucoup d'activités nautiques dans la Nivelle et dans la Nive ce matin.
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| Il y a du monde |
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| Le grand saut ! |
Je suis arrivé à Saint Jean Pied de Port à 12h15.
J'ai déjà 70 kilomètres au compteur, ha l'enthousiasme du premier jour ! Ça ne durera pas forcément.
Je pensais y prendre un crédential mais le bureau des pèlerins est fermé entre 12 et 14h.
Je visite un peu et déjeune sur un banc au soleil.
Je repasse devant le bureau des pèlerins à 13h30 pensant attendre l'ouverture mais il y a au moins une cinquantaine de personnes devant !
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| Saint Jean Pied de Port |
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| Saint Jean Pied de Port |
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| Saint Jean Pied de Port |
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| Saint Jean Pied de Port |
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| Début du chemin de Compostelle |
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| Saint Jean Pied de Port |
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| Pause déjeuner à Saint Jean Pied de Port |
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| Saint Jean Pied de Port |
Je repasse devant le bureau des pèlerins à 13h30 pensant attendre l'ouverture mais il y a au moins une cinquantaine de personnes devant !
Je quitte Saint Jean et espère trouver un crédential à Roncevaux.
Début de la montée du Col de Roncevaux. Il fait vraiment trop chaud pour moi et je suis à la peine. Je fais une pause d'une heure et demi à mi-montée mais je serai pris de terribles crampes comme je n'ai jamais eu auparavant. Je n'arrive pas à vraiment repartir et je dois alterner marche et vélo.
C'est à regretter les frontières car c'est un magasin de Ventas qui m'indique que je suis en Espagne, pas un panneau !
Juste quelques panneaux routiers un peu plus loin pour indiquer la vitesse.
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| Les fameuses Ventas espagnoles |
Début de la montée du Col de Roncevaux. Il fait vraiment trop chaud pour moi et je suis à la peine. Je fais une pause d'une heure et demi à mi-montée mais je serai pris de terribles crampes comme je n'ai jamais eu auparavant. Je n'arrive pas à vraiment repartir et je dois alterner marche et vélo.
J'espère que ça ira mieux demain.
A quelques kilomètres du sommet, l'orage s'annonce et ça va pleuvoir et tonner très fort pendant des heures.
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| C'est beau |
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| Ça commence à grimper |
A quelques kilomètres du sommet, l'orage s'annonce et ça va pleuvoir et tonner très fort pendant des heures.
Heureusement je trouve un coin de bivouac sécurisé sur le bord de la route vers 17h00.
C'est pas très discret mais pas beaucoup de choix dans la montée.
Je suis installé et à l'abri juste à temps avant l'orage.
Il pleut vraiment très fort par moments et je suis vraiment content de ne pas être dessous !
Le réseau est intermittent et il me faut un temps fou pour publier mais c'est chose faite !
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| Bivouac sécurisé sur le bord de la route ! |
Dimanche 4 Juin
Col de Roncevaux - Guendulain : 68 kilomètres
Bon le André, toujours très optimiste quand il trace sa route à la maison va revoir sa copie !
Exit le retour par le Camino Del Norte, si j'arrive à Compostelle, se sera déjà bien.
Je vais essayer d'aller au Cap Finistère et pour le retour, je trouverai un train ou un bus.
En effet je ne suis pas en forme ce matin et les crampes me menacent encore. J'ai pas ma forme habituelle et je manque d'énergie. Sur un parcours aussi exigeant, ça ne pardonne pas, la sanction est immédiate !
Je décide de ralentir ces prochains jours et on verra bien.
Ceci dit il faut avancer ! Réveil ce matin à 6h30. Il a plu toute la soirée hier mais ce matin il fait beau. Par contre il fait bien moins chaud avec 14 degrés.
Je démarre avec la fin du col de Roncevaux. J'étais plus loin du sommet que je pensais car il restait 7 kilomètres.
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| Col de Roncevaux |
J'ai vraiment pas la forme et je dois faire plusieurs pauses en route.
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| Col de Roncevaux |
Le sommet fini tout de même par arrivé pour mon plus grand soulagement.
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| Sommet du col |
Une petite photo du panneau comme d'habitude et une autre du panorama.
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| Une photo mérité |
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Je rencontre au sommet un randonneur très sympa avec qui je vais discuter un bon moment. Il est près de son van et m'offre un café. Il a aussi voyagé à vélo et donc ça discute vélo évidemment ! Une belle rencontre. Ça m'a aussi permis de souffler un peu !
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| Eglise au sommet |
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| Belle vue ! |
Je quitte le sommet et à moi la descente. Je m'arrête à Roncesvalles pour tenter de trouver un crédential mais tout est fermé, on est dimanche. Je ne trouve pas d'eau et je prends un café au bar pour faire remplir mes bouteilles.
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| Roncesvalles |
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| Roncesvalles |
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| Procession à Roncesvalles |
Plusieurs petits cols après Roncesvalles que je grimpe difficilement. Je dois faire des pauses alors que les pentes ne sont pas si importantes.
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| Un col de plus |
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| Encore un col ! |
Une petite pause bière bien méritée au dernier col avant d'entamer une longue descente. Il fait 17 degrés sur les sommets et 27 degrés en bas a 11h00.
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| Bière méritée au sommet |
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| Belle vue aussi |
Il fait chaud ! La route pour Pampelune est assez plate et je peux souffler un peu.
Je profite des tables d'une auberge en bord de route pour déjeuner à l'aise. Je discute avec plusieurs randonneurs et randonneuses et en oubli de mettre ma tente à sécher.
Je l'avais roulée mouillée ce matin.
A 5 kilomètres de Pampelune, je suis sur une voie verte qui va me mener au centre ville.
Je rentre dans Pampelune par cette porte. Je rentre dans une auberge pour demander où on peut trouver un crédential et le patron m'indique qu'il y a une machine à la cathédrale qui en délivre pour 2€.
Une fois la cathédrale trouvée, il faut deux pièces de 1€. Je suis donc obligé de boire une petite bière pour avoir la monnaie. C'est vraiment pas de ma faute !
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| Pause déjeuner sur la table d'une auberge en bord de route |
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A 5 kilomètres de Pampelune, je suis sur une voie verte qui va me mener au centre ville.
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| Voie verte pour Pampelune |
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| Je longe la rivière |
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| Pampelune |
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| Pampelune |
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| Pampelune |
Je rentre dans Pampelune par cette porte. Je rentre dans une auberge pour demander où on peut trouver un crédential et le patron m'indique qu'il y a une machine à la cathédrale qui en délivre pour 2€.
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| Pampelune |
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| Pampelune |
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| Pampelune |
Une fois la cathédrale trouvée, il faut deux pièces de 1€. Je suis donc obligé de boire une petite bière pour avoir la monnaie. C'est vraiment pas de ma faute !
Je réussi à avoir mon crédential.
Je visite Pampelune mais reste sur le tracé de mon GPS. Je rate sûrement quelques trucs à voir mais j'y étais déjà venu à vélo.
Je quitte Pampelune sans avoir réussi à tamponner mon crédential mais c'est chose faite à la sortie de la ville dans une auberge de pèlerins à Zizur Mayor.
Après Pampelune, il fait vraiment trop chaud. Il est 15h30 et il fait 32 degrés. Il n'y a aucun abri du soleil sur les routes.
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| Pampelune |
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| C'était juste pour la monnaie ! |
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| Pampelune |
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| Pampelune |
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| Pampelune |
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| J'ai enfin trouvé mon crédential |
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| Pause café à la sortie de Pampelune |
Je quitte Pampelune sans avoir réussi à tamponner mon crédential mais c'est chose faite à la sortie de la ville dans une auberge de pèlerins à Zizur Mayor.
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| Zizur Mayor |
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| Les montagnes au loin |
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| Auberge de pèlerins |
Après Pampelune, il fait vraiment trop chaud. Il est 15h30 et il fait 32 degrés. Il n'y a aucun abri du soleil sur les routes.
Ça devient très compliqué d'avancer et j'ai peur de faire un malaise en faisant trop d'effort.
J'avance donc lentement et je pousse quand ça grimpe d'autant que je suis sur les premiers chemins blancs très empierrés. Pas facile d'y faire du vélo chargé et ça grimpe souvent !
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| Premier chemin empierré |
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| Des coquelicots |
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| Autel improvisé |
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| Un vieux château |
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| Ça monte sans fin ! |
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| Encore un bivouac ! |
Je suis à 17h00 au milieu de nulle part en plein cagnard et je n'ai plus la force d'avancer avec ce soleil.
Je trouve une petite place au bord du chemin sous un des rares arbres sur la route pour un bivouac. J'aurais préféré une auberge mais je ne peux plus avancer.
Je garde le reste de la montée pour demain matin au frais.
Comme hier, le temps se couvre et la pluie arrive à 18h00.
Je suis à l'abri.
Lundi 5 juin
Guendulain - Los Arcos : 57 kilomètres
Je me réveille tôt ce matin pour modifier ma trace Gps pour sortir de ces chemins impraticables en vélo de voyage. Je passe près d'une heure à faire ça.
Départ un peu après 7h00 et il fait très beau.
J'attaque fort la journée avec 4 kilomètres de montée dans les cailloux.
C'est tellement raide que je n'arrive presque pas à pousser mon vélo !
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| 4 kilomètres de pistes m'attendent ! |
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| Ça grimpe |
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| Passage délicat |
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| Le sommet est proche |
C'est tellement raide que je n'arrive presque pas à pousser mon vélo !
Soudain dans le derniers raidillon le plus pentu, ça devient plus facile.
Serait-ce la main de dieu qui me pousse ? Je me retourne et ce n'est pas dieu mais un très sympathique et costaud randonneur espagnol.
Son aide est inestimable car j'étais à deux doigts de monter d'abord les sacoches et ensuite le vélo.
Je suis enfin au sommet et reste récupérer un peu en admirant le panorama et prendre quelques photos.
C'est parti pour une énorme descente et je gagne 10 degrés arrivé en bas.
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| Mon sauveur |
Je suis enfin au sommet et reste récupérer un peu en admirant le panorama et prendre quelques photos.
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| Moi-même |
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| C'est beau |
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| Ça va bien descendre vu le panorama ! |
C'est parti pour une énorme descente et je gagne 10 degrés arrivé en bas.
Sur la route je manque de rouler sur un serpent et je ne lui demande pas si il est vivant ! Photo et oust je reste pas à côté.
Dès le bas de la descente, ça remonte direct ! Une belle succession de bosses toute la journée.
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| Un vrai serpent ! |
Dès le bas de la descente, ça remonte direct ! Une belle succession de bosses toute la journée.
C'est pas encore la forme mais c'est mieux.
Je traverse quelques petits villages et suis à midi à Villatuerta - Lazarra.
A midi, je trouve un coin d'ombre et déjeune près de l'église de Villatuerta. Je discute un bon moment avec un couple de randonneurs français et en oubli de faire la photo.
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| Legarda |
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| Puente le Reina - Gares |
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| Puente la Reina - Gares |
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| Puente la Reina - Gares |
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| Puente la Reina - Gares |
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| Maneru |
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| Cirauqui |
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| Cirauqui |
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| Cirauqui |
A midi, je trouve un coin d'ombre et déjeune près de l'église de Villatuerta. Je discute un bon moment avec un couple de randonneurs français et en oubli de faire la photo.
Je reste faire une très longue pause pour éviter le soleil.
Il fait vraiment très chaud, mon GPS annonce 49 degrés ! En fait il faut au moins 30 degrés.
Le ciel se couvre et l'orage s'annonce dès 15h00 aujourd'hui. Je pensais l'éviter dans un premier temps mais ce ne sera pas le cas.
Ça tombe très fort et ça tonne à tout va. Je roule quelques kilomètres sous la pluie avant de trouver un pont pour m'abriter. Je fais l'erreur de repartir trop vite et je vais faire mes 10 derniers kilomètres sous un déluge !
J'arrive à Los Arcos où existe 5 auberge de pèlerins. Les trois premières que je visite sont complètes ! Ça craint pour moi mais heureusement à la quatrième, je trouve une place.
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| Villatuerta - Lazarra |
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| Estella |
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| Estella - Lazarra |
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| Estella - Lazarra |
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| Estella -Lazarra |
Il fait vraiment très chaud, mon GPS annonce 49 degrés ! En fait il faut au moins 30 degrés.
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| Ça chauffe au soleil ! |
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| Irache |
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| Irache |
Le ciel se couvre et l'orage s'annonce dès 15h00 aujourd'hui. Je pensais l'éviter dans un premier temps mais ce ne sera pas le cas.
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| L'orage approche ! |
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| Il est là ! |
Ça tombe très fort et ça tonne à tout va. Je roule quelques kilomètres sous la pluie avant de trouver un pont pour m'abriter. Je fais l'erreur de repartir trop vite et je vais faire mes 10 derniers kilomètres sous un déluge !
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| Ouf un pont pour m'abriter |
J'arrive à Los Arcos où existe 5 auberge de pèlerins. Les trois premières que je visite sont complètes ! Ça craint pour moi mais heureusement à la quatrième, je trouve une place.
A moi la douche !
C'est pas le grand luxe mais pour 8€ ça va et je suis à l'abri.
Après Viana c'est la visite de Logrono où finalement je ne trouve pas grand chose à photographier.
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| Los Arcos |
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| Los Arcos |
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| Los Arcos |
C'est pas le grand luxe mais pour 8€ ça va et je suis à l'abri.
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| Auberge de pèlerins |
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| C'est serré il y a du monde dans la chambre ! |
Mardi 6 juin
Los Arcos - Najéra : 65 kilomètres
Départ de cette auberge à 7h30 où finalement je n'ai pas trop mal dormi et ce malgré les inévitables ronfleurs dans cette grande chambrée.
J'ai eu des crampes cette nuit et il faut que je règle ça.
Il fait couvert au départ avec 17 degrés mais après 10h c'est grand soleil et la température monte à 26 degrés. C'est bon pour le panneau solaire, pas trop pour moi.
Route donc d'abord sur Viana avec quelques bonnes bosses au programme comme d'habitude maintenant. Je ne suis pas le seul cyclotouriste chargé et plusieurs me double sur la route. Il faut dire que je roule vraiment pépère maintenant.
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| La campagne espagnole |
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| La plaine s'annonce j'espère |
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| Viana |
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| Viana |
Après Viana c'est la visite de Logrono où finalement je ne trouve pas grand chose à photographier.
Je passe à la pharmacie pour prendre des comprimés contre les crampes, on verra bien !
Je ne traîne pas trop dans cette circulation assez importante en ville.
Je quitte la ville et me retrouve sur des routes quasiment désertes et traverse plusieurs petits villages.
L'eau étant très rare dans le coin, je ne résiste pas à faire trempette pour me rafraîchir.
Je suis à midi pile à Entrena et y reste déjeuner à l'ombre. Suivra une sieste de plus d'une heure sur le banc !
Je repars vers 14h et là c'est vraiment difficile d'avancer sous le cagnard sur ces routes sans abri.
L'orage s'annonce mais celui-là n'est pas pour moi. Il file au loin.
Je visite un peu Navarette et refais une autre longue pause sous un arbre bien à l'abri.
Encore une dizaine de kilomètres à faire pour Najéra en traversant quelques jolis villages bien seuls dont un perché qui se mérite au soleil.
Les derniers kilomètres sont en descente et j'arrive tranquille à Najéra où je trouve une place à l'auberge municipale pour 6€. Un abri, je suis bien content de ne pas avoir la tente à monter.
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| Logrono |
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| Logrono |
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| Logrono |
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| Logrono |
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| Logrono |
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| Logrono |
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| Logrono |
Je quitte la ville et me retrouve sur des routes quasiment désertes et traverse plusieurs petits villages.
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| Des montagnes au loin ! |
L'eau étant très rare dans le coin, je ne résiste pas à faire trempette pour me rafraîchir.
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| De l'eau fraîche ! |
Je suis à midi pile à Entrena et y reste déjeuner à l'ombre. Suivra une sieste de plus d'une heure sur le banc !
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| Entrena en vue ! |
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| Pause déjeuner à Entrena |
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| Il fait vraiment chaud là |
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| Des vignes très présentes |
L'orage s'annonce mais celui-là n'est pas pour moi. Il file au loin.
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| L'orage au loin |
Je visite un peu Navarette et refais une autre longue pause sous un arbre bien à l'abri.
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| Navarette |
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| Navarette |
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| Navarette |
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| Navarette |
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| Sortie de Navarette |
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| Une petite sieste ! |
Encore une dizaine de kilomètres à faire pour Najéra en traversant quelques jolis villages bien seuls dont un perché qui se mérite au soleil.
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| LaGuardia |
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| Fuenmayor |
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| Les vignes |
Les derniers kilomètres sont en descente et j'arrive tranquille à Najéra où je trouve une place à l'auberge municipale pour 6€. Un abri, je suis bien content de ne pas avoir la tente à monter.
Par contre contre il faut que j'arrive plus tôt aux auberges car ici il restait 3 places alors que j'y étais à 16h30.
On verra ce soir pour les ronflements ! La chambre est grande ici aussi.
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| Najéra |
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| Najéra |
On verra ce soir pour les ronflements ! La chambre est grande ici aussi.
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| Il y a du monde aussi ! |
Mercredi 7 juin
Najéra - Villafranca Montés de Oca : 56 kilomètres
Quelle nuit ! Des ronflements qui battaient des records pour certains. En plus il faisait super chaud.
Tout le dortoir s'agite dès 6h00 car un con en avait décidé ainsi en laissant son réveil sonner au plus fort 10 minutes. Je suis surpris que personne n'ai rien dit.
Enfin je me lève aussi, range mes affaires et fais mon café pour un départ à 6h45.
Comme l'auberge de hier était quasi complète à mon arrivée, j'ai réservé celle d'aujourd'hui. C'est à Villafranca Montés de Oca à 55 kilomètres, c'est plus prudent.
C'est donc parti pour une journée pépère à un train de sénateurs.
Le temps est couvert ce matin et c'est plutôt agréable avec 18 degrés. Ça montera à 26 degrés l'après-midi mais le soleil se montrera peu.
Pas beaucoup de ville sur ma route qui est essentiellement la N120. Déserte dans l'ensemble car parallèle à l'autoroute, il y aura plus de monde vers la fin.
Je quitte donc Najéra en direction de Santo Domingo de la Calzada.
La N120 déserte le matin avec une belle partie cyclable.
Je visite Santo Domingo de la Calzada, jolie petite ville bien déserte aussi. Peu de monde dans cette région.
Je fais une pause café dans le joli coin de Redicilla del Camino et discute un moment avec un couple de pèlerins français ( ha le drapeau breton, reconnu partout).
Je suis à 11h30 à Belorado et je voulais aller au resto mais j'oubliai que les espagnols n'ont pas tout à fait les mêmes horaires que nous. Ça n'ouvre qu'à 13h30 !
J'ai déjà fait la majorité de ma route à midi et il m'en reste seulement une dizaine de kilomètres pour l'auberge.
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| Najéra |
La N120 déserte le matin avec une belle partie cyclable.
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| La N120 |
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| Soleil timide |
Je visite Santo Domingo de la Calzada, jolie petite ville bien déserte aussi. Peu de monde dans cette région.
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| Un pèlerin ? |
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| Santo Domingo de la Calzada |
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| Santo Domingo de la Calzada |
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| Santo Domingo de la Calzada |
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| Santo Domingo de la Calzada |
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| Santo Domingo de la Calzada |
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| Santo Domingo de la Calzada |
Je fais une pause café dans le joli coin de Redicilla del Camino et discute un moment avec un couple de pèlerins français ( ha le drapeau breton, reconnu partout).
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| Redecilla del Camino |
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| Redecilla del Camino |
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| Redecilla del Camino |
Je suis à 11h30 à Belorado et je voulais aller au resto mais j'oubliai que les espagnols n'ont pas tout à fait les mêmes horaires que nous. Ça n'ouvre qu'à 13h30 !
Je trouve quand même quelques trucs au comptoir du bistrot.
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| Pause déjeuner |
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| Belorado |
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| Belorado |
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| Sortie de Belorado |
J'ai déjà fait la majorité de ma route à midi et il m'en reste seulement une dizaine de kilomètres pour l'auberge.
Lors d'une petite pause sur le bord de la route, je recroise un couple de belges avec qui j'avais discuter trois jours avant. Je les pensais loin devant ! Ils sont aussi sur la route car le chemin est trop dur pour eux malgré leurs gros vélos électriques.
J'arrive à 14h00 à l'auberge assez atypique et qui fait hôtel aussi. C'est à peine plus cher que hier et bien plus calme !
Une dernière côte pour y accéder car elle est en haut du village !
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| Tosantos |
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| Tosantos |
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| Le chemin de Compostelle ! |
J'arrive à 14h00 à l'auberge assez atypique et qui fait hôtel aussi. C'est à peine plus cher que hier et bien plus calme !
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| Villafranca Montés de Oca |
Une dernière côte pour y accéder car elle est en haut du village !
J'ai passé la journée à monter mais gentiment.
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| Villafranca Montés de Oca |
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| Une auberge hôtel originale |
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| Mon lit pour ce soir |
Me voilà installé, douché et rasé de près à 15 heures !
Maintenant repos et départ à 7h00 demain pour Burgos à 35 kilomètres de là.
Jeudi 8 juin
Villafranca Montés de Oca - Hontanas : 81 kilomètres
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Aujourd'hui c'est Georges, un anglais qui décide de l'heure du réveil dans le dortoir. En effet a 6h30 pétante ( c'est le cas de le dire), il nous réveille par un pet tonitruant suivi d'un long soupir de soulagement ! Tout le dortoir s'agite instantanément sans doute par peur d'être gazé pour de bon !
J'en fais de même et me prépare.
Moins de monde dans le dortoir mais au moins autant de ronflements ! Je ne savais pas qu'une coréenne par exemple pouvait faire autant de bruit !
Je prends un café à l'auberge et c'est parti. Le temps est couvert et il fait assez frais avec 15 degrés, on est à plus de 1000 mètres.
Démarrage en côte ce matin avec ce panneau à 100 mètres de l'auberge.
La montée se passe bien et j'ai de bonnes jambes ce matin. Ça sera un peu plus qu'annoncé mais ça passe bien.
Pas grand chose à voir sur la route de Burgos mais le paysage à changé, c'est bien plus vert.
A l'approche de Burgos, c'est bien plus plat et je retourne sur le camino Francès parallèle à la route.
J'arrive à Burgos par une longue zone industrielle et prends une petite collation avant la visite.
Je passe à l'Office de tourisme pour récupérer un plan de la ville et c'est parti pour la visite. Beaucoup de voitures dans certaines parties de la ville mais pas en plein centre heureusement.
Je suis devant la cathédrale mais une bande de marginaux me regarde de travers et du coup je n'ose pas laisser mon vélo et mes bagages seuls pour visiter l'intérieur. Vraiment dommage.
La forme est à peu près revenue et j'ai même l'envie d'une petite bière 🍻 ! A la vôtre !
Burgos est une jolie ville qui méritait d'y faire étape.
Une belle ruine aussi tout là-haut mais je n'irai pas visiter ! Vous vous doutez un peu pourquoi.
Route pour Sahagun à 15 kilomètres de là. Je ne sais pas ce qui s'y est passé hier soir mais à 7h30, il y a toute une population de plus ou moins jeunes complètement avinés qui déambule encore dans les rues jonchées de détritus divers.
J'arrive devant la cathédrale, magnifique et presque aussi belle que celle de Saint Paul de Léon !
Une bonne douche et c'est reparti pour un petit tour en ville !
Route Astorga au pied de la montée du jour pour la "Cruz del Ferro".
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| Ça annonce la couleur ! |
La montée se passe bien et j'ai de bonnes jambes ce matin. Ça sera un peu plus qu'annoncé mais ça passe bien.
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| Le sommet, enfin je pensais ! |
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| La campagne |
Pas grand chose à voir sur la route de Burgos mais le paysage à changé, c'est bien plus vert.
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| Zalduendo |
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| Ibeas de Juarros |
A l'approche de Burgos, c'est bien plus plat et je retourne sur le camino Francès parallèle à la route.
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| Le Camino Francès |
J'arrive à Burgos par une longue zone industrielle et prends une petite collation avant la visite.
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| Pause café |
Je passe à l'Office de tourisme pour récupérer un plan de la ville et c'est parti pour la visite. Beaucoup de voitures dans certaines parties de la ville mais pas en plein centre heureusement.
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Un nouvel ami ! |
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| Burgos |
Je suis devant la cathédrale mais une bande de marginaux me regarde de travers et du coup je n'ose pas laisser mon vélo et mes bagages seuls pour visiter l'intérieur. Vraiment dommage.
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
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| Burgos |
La forme est à peu près revenue et j'ai même l'envie d'une petite bière 🍻 ! A la vôtre !
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| A la vôtre ! |
Burgos est une jolie ville qui méritait d'y faire étape.
Ma visite se termine vers midi et j'ai faim. Pas de pique nique aujourd'hui. La seule chose ouverte avant 13h ou 14h est un kebab.
C'est de la nourriture saine pour cyclistes un kebab non ?
Je quitte Burgos pour Hontanas où j'ai repéré une auberge. Ça va s'avérer bien plus loin que je pensais ! Heureusement je roule bien aujourd'hui. Je traverse de jolis petits villages sur la route devenue déserte grâce à la proximité de l'autoroute.
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| Un bon Kebab |
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| Burgos |
Je quitte Burgos pour Hontanas où j'ai repéré une auberge. Ça va s'avérer bien plus loin que je pensais ! Heureusement je roule bien aujourd'hui. Je traverse de jolis petits villages sur la route devenue déserte grâce à la proximité de l'autoroute.
Je passe à Tardajos ou il y a des cigognes dans leur nid.
Une bonne averse me surprend mais je trouve un abri. Pour rien car ça ne durera que quelques minutes.
Après la pluie, le beau temps ! La température remonte à 26 degrés.
Je fini ma route en quittant la N130 et je prends des toutes petites routes, voir des chemins à certains endroits.
J'arrive enfin après plus de 80 kilomètres dans le joli village de Hontanas où je trouve une place à l'auberge. Il y a plusieurs français et je peux faire un brin de causette avec eux, ça fait du bien.
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| Tardajos |
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| Tardajos |
Une bonne averse me surprend mais je trouve un abri. Pour rien car ça ne durera que quelques minutes.
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| Il pleut dans la campagne |
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| Un abri juste à temps |
Après la pluie, le beau temps ! La température remonte à 26 degrés.
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| Yudego |
Je fini ma route en quittant la N130 et je prends des toutes petites routes, voir des chemins à certains endroits.
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| Une route selon Google ! |
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| Hontanas en vue ! |
J'arrive enfin après plus de 80 kilomètres dans le joli village de Hontanas où je trouve une place à l'auberge. Il y a plusieurs français et je peux faire un brin de causette avec eux, ça fait du bien.
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| L'auberge municipale |
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| Mon lit |
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| Mon vélo bien rangé |
Mon vélo est bien à l'abri à l'intérieur car l'orage est là quand je vous écris.
Vendredi 9 juin
Hontanas - Calzadilla de la Cueza : 76 kilomètres
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Pas de ronflements cette nuit à l'auberge, extraordinaire ! Il faut dire qu'on était une petite dizaine.
Quand même un couple sans gêne aucune, qui allume la lumière à 5h30 et se prépare tranquille comme si tout le monde se levait à cette heure ! Vraiment sans gêne. Ils éteignent tout même en sortant heureusement à 6h.
Je me rendors et me réveille à 7h00 pour un départ à 7h30 après mon café.
La pluie est annoncée aujourd'hui mais au départ ça va. Par contre il fait vraiment frais au départ.
La route va descendre sur les 10 premiers kilomètres et c'est pas mal pour un départ peinard. Je longe régulièrement le camino et passe par les ruines du couvant de Saint Anton.
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| Hontanas |
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| Ma route et le Camino |
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| Couvant Saint Anton |
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| Saint Anton |
Une belle ruine aussi tout là-haut mais je n'irai pas visiter ! Vous vous doutez un peu pourquoi.
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| Trop haut ! |
Quelques stèles sur la route avec le kilométrage pour Santiago. Ça correspond pas vraiment !
Je fais une première pause café et fait tamponner mon crédential dans cet abri de pèlerins.
La route est assez droite sur de longues portions où le vent se fait sentir. Par contre peu de relief ce matin.
Je fais un petit crochet pour aller voir les cigognes et l'église de Boadilla del Camino, magnifique endroit très calme à l'écart de tout.
A l'approche de Fromista, je croise le canal de Castille et ces jolies écluses.
Je trouve à Fromista enfin une alimentation et prend de quoi faire un casse-croûte sympa jambon fromage. Il est 10h30.
A peine reparti à 11h, la pluie arrive bel et bien. Pour cette première averse je trouve un abri sous les arbres.
Il est midi pour mon arrivée à Arconada absolument déserte. Une salle de pèlerins me fera un abri idéal pour déjeuner. Il pleut un peu régulièrement.
Je reprends la route pour Carrion de los Condés où je pensais faire étape mais il est vraiment très tôt. Je repars pour Calzadilla de la Cueza 18 kilomètres plus loin.
C'est toujours très surprenant de se faire héler au milieu de nulle part " hé André". Je suis surpris et découvre le couple de belges croisé déjà plusieurs fois auparavant et avec qui je discute un peu à chaque fois. Ils font étape ici mais moi je repars.
Je suis sur la route pour les tous premiers kilomètres mais à un moment, il n'y a pas d'autres alternatives au chemin. Il me reste 10 kilomètres à faire.
L'orage arrive et pas d'abri en vue ! Ça va tomber très fort mais heureusement pas très longtemps.
Une fois l'averse finie, 2 kilomètres plus loin de trouvait le seul abri du coin, dommage ! Je pense surtout aux rares pèlerins qui marchaient cet après-midi.
Ma journée se termine à 15h30 avec l'arrivée à Calzadilla de la Cueza ou je trouve une place à l'auberge.
Très petit dortoir par rapport aux 30 lits ! Ça promet pour la nuit. En attendant je suis bien à l'abri des averses qui se succèdent.
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| Indication souvent farfelu ! |
Je fais une première pause café et fait tamponner mon crédential dans cet abri de pèlerins.
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| Pause café |
La route est assez droite sur de longues portions où le vent se fait sentir. Par contre peu de relief ce matin.
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| De longues portions rectilignes |
Je fais un petit crochet pour aller voir les cigognes et l'église de Boadilla del Camino, magnifique endroit très calme à l'écart de tout.
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| Boadilla del Camino |
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| Boadilla del Camino |
A l'approche de Fromista, je croise le canal de Castille et ces jolies écluses.
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| Écluses du canal de Castille |
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| Fromista |
Je trouve à Fromista enfin une alimentation et prend de quoi faire un casse-croûte sympa jambon fromage. Il est 10h30.
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| Pause casse croute ! |
L'eau de la rivière est vraiment très jaune, pas loin du torrent de boue !
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| Le fleuve jaune ? |
A peine reparti à 11h, la pluie arrive bel et bien. Pour cette première averse je trouve un abri sous les arbres.
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| Ça va tomber bientôt ! |
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| Ouf un abri |
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| Sortie de Fromista |
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Il est midi pour mon arrivée à Arconada absolument déserte. Une salle de pèlerins me fera un abri idéal pour déjeuner. Il pleut un peu régulièrement.
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| Arcanada |
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| Arcanada |
Je reprends la route pour Carrion de los Condés où je pensais faire étape mais il est vraiment très tôt. Je repars pour Calzadilla de la Cueza 18 kilomètres plus loin.
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| Carrion de los Condés |
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| Carrion de los Condés |
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| Carrion de los Condés |
C'est toujours très surprenant de se faire héler au milieu de nulle part " hé André". Je suis surpris et découvre le couple de belges croisé déjà plusieurs fois auparavant et avec qui je discute un peu à chaque fois. Ils font étape ici mais moi je repars.
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| Carrion de los Condés |
Je suis sur la route pour les tous premiers kilomètres mais à un moment, il n'y a pas d'autres alternatives au chemin. Il me reste 10 kilomètres à faire.
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| Ma route et le Camino |
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| Le Camino Francès |
L'orage arrive et pas d'abri en vue ! Ça va tomber très fort mais heureusement pas très longtemps.
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| Au moins on voit arriver ! |
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| Ça prend l'eau |
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| J'ai pris cher ! |
Une fois l'averse finie, 2 kilomètres plus loin de trouvait le seul abri du coin, dommage ! Je pense surtout aux rares pèlerins qui marchaient cet après-midi.
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| Un abri, le seul ! |
Ma journée se termine à 15h30 avec l'arrivée à Calzadilla de la Cueza ou je trouve une place à l'auberge.
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| Calzadilla de la Cueza |
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| Mon auberge |
Très petit dortoir par rapport aux 30 lits ! Ça promet pour la nuit. En attendant je suis bien à l'abri des averses qui se succèdent.
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| Mon lit |
Samedi 10 juin
Calzadilla de la Cueza - Léon : 80 kilomètres
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Beaucoup de monde finalement dans cette auberge qui paraissait petite mais la nuit se passe bien.
Beaucoup de français présent et on peut discuter une partie de la soirée.
Lever à 6h00 avec le jour car comme j'ai réservé le petit entre 6 et 7h, vaut mieux être dans les premiers !
C'est couvert et frais au départ mais ça va se lever progressivement.
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| Le jour se lève |
Route pour Sahagun à 15 kilomètres de là. Je ne sais pas ce qui s'y est passé hier soir mais à 7h30, il y a toute une population de plus ou moins jeunes complètement avinés qui déambule encore dans les rues jonchées de détritus divers.
On sent la vinasse dans les petites rues ! L'alcool a dû couler à flot cette nuit. Du coup je n'y traîne pas et reprend rapidement la route. J'avais prévu de faire un arrêt laverie mais c'est fermé. Je file de là sur des routes désertes en ce samedi.
De longues portions rectilignes m'attendent et ce pour toute la matinée.
J'aperçois sur le bord de la route la maison de quelques Hobbits expatriés sans doute.
Je fais route commune avec les pèlerins assez rarement car il y a quasiment une route parallèle au chemin jusqu'à Léon.
Je passe de rares villages déserts et ne trouve rien pour mon casse-croûte !
J'y trouve une laverie automatique et ça me prendra une heure entre le lavage et le séchage. J'avais lavé quelques trucs à la main mais là j'avais plus rien. Tout est nickel et sent bon, c'est reparti pour au moins 6 jours !
Il est donc midi quand j'ai fini et il est l'heure de déjeuner, du moins pour moi.
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| C'est tout droit ! |
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| Un petit rappel ! |
J'aperçois sur le bord de la route la maison de quelques Hobbits expatriés sans doute.
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| La maison des Hobbits |
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| Sahagun |
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| Sahagun |
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| Sahagun |
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| Sahagun |
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| Sahagun |
Je fais route commune avec les pèlerins assez rarement car il y a quasiment une route parallèle au chemin jusqu'à Léon.
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| Route sur le Camino |
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| Bercianos Del Réal Camino |
Je passe de rares villages déserts et ne trouve rien pour mon casse-croûte !
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| El Burgo Ranero |
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| C'est vraiment tout droit ! |
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Je suis à 11h à Mansilla de las Mulas avec 60 kilomètres au compteur. C'est assez plat et ça a bien roulé.
J'y fais quelques courses.
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| Mansilla de las Mulas |
J'y trouve une laverie automatique et ça me prendra une heure entre le lavage et le séchage. J'avais lavé quelques trucs à la main mais là j'avais plus rien. Tout est nickel et sent bon, c'est reparti pour au moins 6 jours !
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| Arrêt lessive |
Il est donc midi quand j'ai fini et il est l'heure de déjeuner, du moins pour moi.
Je m'installe sur la place du village très peu fréquentée pour un pique nique.
A la sortie du village, la vue d'une pharmacie me fait penser aux bouchons d'oreilles ! Alléluia je suis sauvé et en ressort avec deux paires.
Je suis à seulement 20 kilomètres de Léon et c'est tout droit pour y aller.
Une autre chose dont j'ai absolument besoin, est une serviette de toilette car j'ai oublié la mienne il y a deux jours dans une auberge. C'est chose faite dans un magasin de sport à l'entrée de la ville. Je verrouille mon vélo à double tour devant le magasin dans la galerie même.
C'est partie ensuite pour une petite visite de Léon très fréquentée dans certaines rues piétonnes. Il y a aussi le marché sur la grande place.
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| Déjeuner à Mansilla de las Mulas |
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| Mansilla de las Mulas |
A la sortie du village, la vue d'une pharmacie me fait penser aux bouchons d'oreilles ! Alléluia je suis sauvé et en ressort avec deux paires.
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| Des bouchons enfin j'y pense ! |
Je suis à seulement 20 kilomètres de Léon et c'est tout droit pour y aller.
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| Léon en vue |
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| Léon |
Une autre chose dont j'ai absolument besoin, est une serviette de toilette car j'ai oublié la mienne il y a deux jours dans une auberge. C'est chose faite dans un magasin de sport à l'entrée de la ville. Je verrouille mon vélo à double tour devant le magasin dans la galerie même.
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| Verrouillé à double tour ! |
C'est partie ensuite pour une petite visite de Léon très fréquentée dans certaines rues piétonnes. Il y a aussi le marché sur la grande place.
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
J'arrive devant la cathédrale, magnifique et presque aussi belle que celle de Saint Paul de Léon !
Je plaisante bien sûr ! Une très belle cathédrale que l'on peut admirer avec un peu de recul car il y a de l'espace autour.
Les deux premières auberges que je visite sont complètes et ça m'inquiète un peu. Je me résous à aller voir la moins chère et là pas de soucis, il y a de la place. C'est un couvant et on me donne même les horaires de la messe !
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| Cathédrale de Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| C'est écrit dessus ! |
Une espagnole reconnaît le drapeau breton et vient me parler un peu. C'est sympa et elle me dit qu'elle habite ici mais sa mère est originaire de Paimpol ! Une vraie bretonne pour le coup.
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
Les deux premières auberges que je visite sont complètes et ça m'inquiète un peu. Je me résous à aller voir la moins chère et là pas de soucis, il y a de la place. C'est un couvant et on me donne même les horaires de la messe !
Je vais bien aller à la chapelle mais elle n'est pas du même type ! Je vais à celle qui distribue des bières !
En tout cas je m'installe. Mon vélo sera dehors mais c'est bien sécurisé.
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| Mon auberge, un couvant ! |
En tout cas je m'installe. Mon vélo sera dehors mais c'est bien sécurisé.
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| Mon vélo dehors pour la nuit |
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| Des casiers sécurisés |
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| Mon lit |
Dimanche 11 juin
Léon - Ponferrada : 104 kilomètres
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Départ assez tôt ce matin car l'ensemble du dortoir s'agite dès 6h00. Je range mes affaires et profite du petit déjeuner offert par l'auberge.
Je suis prêt à 7h00 et traverse la ville de Léon endormie en ce dimanche matin. Il fait super beau au départ.
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| Léon |
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| Léon |
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| Léon |
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| Mon nouveau pote Léon |
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| Léon |
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| Léon |
Route Astorga au pied de la montée du jour pour la "Cruz del Ferro".
Je traverse des petits villages eux aussi endormis.
Au kilomètres 25, arrive à ma hauteur le très sympathique québécois Daniel. On discute tout en roulant et c'est très sympa, on s'entend bien dès le début et on décide donc de rouler ensemble en route pour Astorga.
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| Valverde de la Virgen |
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| Valverde de la Virgen |
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| Villadangos del Paramo |
Au kilomètres 25, arrive à ma hauteur le très sympathique québécois Daniel. On discute tout en roulant et c'est très sympa, on s'entend bien dès le début et on décide donc de rouler ensemble en route pour Astorga.
Daniel voyage aussi à vélo et vient d'Alicante et il va à Compostelle. C'est un habitué des voyages à vélo comme moi. D'origine du Québec, il vit depuis quelques années en Espagne.
Nous voilà ensemble à Astorga vers 10h00 et nous visitons un peu la ville magnifique, surtout la cathédrale. Une des plus belles de ce voyage. On prend une petite bière pour continuer à discuter tranquille.
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| Daniel le Québécois |
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| Astorga en vue |
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| Daniel |
Nous voilà ensemble à Astorga vers 10h00 et nous visitons un peu la ville magnifique, surtout la cathédrale. Une des plus belles de ce voyage. On prend une petite bière pour continuer à discuter tranquille.
On s'entend vraiment bien et décidons de rester la journée ensemble.
A 11h00, il faut y aller car on a la montée vers la Cruz del Ferro à faire ! Une belle montée pas trop pentue et qui nous fait traverser de jolis villages.
A midi, pour le déjeuner, nous partageons ce qu'il nous reste dans les sacoches et nous mangeons sous le petit porche de cette église.
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
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| Astorga |
A 11h00, il faut y aller car on a la montée vers la Cruz del Ferro à faire ! Une belle montée pas trop pentue et qui nous fait traverser de jolis villages.
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| Castrillo de los Polvazares |
A midi, pour le déjeuner, nous partageons ce qu'il nous reste dans les sacoches et nous mangeons sous le petit porche de cette église.
Heureusement car nous sommes surpris par une averse.
Pendant la montée, il faudra s'habiller, se déshabiller plusieurs fois au gré des petites averses jamais très longues.
On fini tout de même par arriver en haut et double séance photos au sommet. D'abord avec les nuages puis sans. C'est beaucoup mieux sans !
De nombreuses marques de passage des pèlerins dans les cailloux autour de la croix.
Une petite éclaircie au sommet et c'est reparti pour les photos ! L'avantage d'être deux.
On se met rapidement à l'abri car une grosse averse tombe au sommet. Nous discutons un peu avec quelques anglaises à l'abri avec nous.
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| Pause déjeuner à El Ganso |
Pendant la montée, il faudra s'habiller, se déshabiller plusieurs fois au gré des petites averses jamais très longues.
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| Rabana Del Camino |
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| Villajero de Orbigo |
On fini tout de même par arriver en haut et double séance photos au sommet. D'abord avec les nuages puis sans. C'est beaucoup mieux sans !
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| Cruz del Ferro |
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| Cruz del Ferro |
De nombreuses marques de passage des pèlerins dans les cailloux autour de la croix.
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| Cruz del Ferro |
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| Cruz del Ferro |
Une petite éclaircie au sommet et c'est reparti pour les photos ! L'avantage d'être deux.
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| Daniel |
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| Moi-même |
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| Avec le ciel bleu ! |
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| Cruz del Ferro |
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| Panneau du sommet |
On se met rapidement à l'abri car une grosse averse tombe au sommet. Nous discutons un peu avec quelques anglaises à l'abri avec nous.
L'averse cesse et nous partons pour la descente, du moins nous pensions ! Ça remonte assez fort dès le début mais une magnifique descente nous attend bien 2 kilomètres plus loin.
Près de 20 kilomètres de descente où on va perdre 1000 mètres !
Au pied de la descente et à quelques kilomètres de Ponferrada, on fait une pause dans un très bel endroit à Molinaseca.
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| Dans la descente |
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| Magnifique ! |
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| C'est beau ! |
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| Ça descend toujours ! |
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| Toujours très beau ! |
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| Village traversé dans la descente |
Au pied de la descente et à quelques kilomètres de Ponferrada, on fait une pause dans un très bel endroit à Molinaseca.
C'est reparti ensuite pour les derniers kilomètres. On s'accorde pour aller à l'auberge municipale de Ponferrada car Daniel en à de très bon souvenirs.
Une belle auberge en effet à Ponferrada. Un super accueil et en plus nous sommes deux dans une chambre de quatre, nickel.
Pendant que Daniel cuisinait notre repas du soir, nous sommes invités par une gentille franco-espagnol à partager le repas du groupe qu'elle anime. C'est plus si qu'il nous en fallait d'autant qu'il y a aussi le dessert et la sangria !
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| Molinaseca |
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| Pause à Molinaseca |
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| Molinaseca |
Une belle auberge en effet à Ponferrada. Un super accueil et en plus nous sommes deux dans une chambre de quatre, nickel.
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| Superbe auberge de Ponferrada |
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| Auberge de Ponferrada |
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| Mon lit |
Pendant que Daniel cuisinait notre repas du soir, nous sommes invités par une gentille franco-espagnol à partager le repas du groupe qu'elle anime. C'est plus si qu'il nous en fallait d'autant qu'il y a aussi le dessert et la sangria !
Avec la cuisine de Daniel, quel repas de rêve dans cette auberge espagnole !
Pas de sortie en ville ce soir car pendant le repas tombe une énorme averse d'orage assez longue. Un vrai déluge.
A Villafranca del Bierzo, nous nous ravitaillons au supermarché en vivre pour la journée. Du coup maintenant, il faut penser repas pour deux !
Au bas de la descente, on s'arrête pour un bon café et se réchauffer un peu à Triacastela.
Sur la route de Sarria, on passe par le joli coin de Samos et son abbaye.
A Sarria, on en profite pour faire les courses du jour et prendre du pain.
Avant de sortir de la ville, on fait une petite pause et on mange quelques gâteaux car une longue remontée nous attend sur la route de Portomarin.
A midi on trouve un coin sympa pour le déjeuner et en plus il fait beau !
A Palas de Rei, je décide de faire tamponner mon crédential une dernière fois et m'arrête dans une boutique qui le permet. Nous sommes reçus par un type extraordinaire qui à fait des milliers de kilomètres à vélo malgré une jambe amputée. Il fait du vélo de voyage avec une prothèse.
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| L'auberge espagnole ! |
Pas de sortie en ville ce soir car pendant le repas tombe une énorme averse d'orage assez longue. Un vrai déluge.
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| Énorme l'orage ! |
Demain nous attend une montée plus raide que celle d'aujourd'hui en route pour O Cebreiro.
Nous ferons aussi route commune demain Daniel et moi.
Lundi 12 juin
Ponferrada - O Cebreiro : 53 kilomètres
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Une auberge trois étoiles hier soir à Ponférrada, superbe accueil et une convivialité jamais vue. Ce sera sans doute mon meilleur souvenir de ce voyage !
Réveil à 6h30 et on prépare nos vélos et nos affaires. Après un bon petit déjeuner, nous sommes prêts à partir à 7h30.
Daniel m'accompagne jusqu'à Compostelle.
La grosse montée du Camino Francès au programme ce matin avec le O Cebreiro à passer.
Il fait beau au départ et route vers Villafranca del Bierzo après une petite visite de Ponferrada.
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| Ponferrada |
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| Ponferrada |
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| Ponferrada |
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| Ponferrada |
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| Camponaraya |
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| Cacabelos |
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| Jolie vue ! |
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| Villafranca del Bierzo |
A Villafranca del Bierzo, nous nous ravitaillons au supermarché en vivre pour la journée. Du coup maintenant, il faut penser repas pour deux !
C'est chose faite et nous continuons la route d'approche vers O Cebreiro.
Ça commence à grimper gentiment mais la montée finale fait 12 kilomètres et est très pentue, du costaud nous attend.
Une petite pause ravitaillement avant d'attaquer sérieusement la montée.
Là on entre dans le dur, des longues lignes droites très pentues interminables avant une petite épingle pour recommencer de même !
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| Villafranca del Bierzo |
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| Villafranca del Bierzo |
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| Villafranca del Bierzo |
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| Villafranca del Bierzo |
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| Daniel mène l'allure ! |
Ça commence à grimper gentiment mais la montée finale fait 12 kilomètres et est très pentue, du costaud nous attend.
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| Véga de Valcarce |
Une petite pause ravitaillement avant d'attaquer sérieusement la montée.
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| Véga de Valcarce |
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| Route commune avec les pèlerins |
Là on entre dans le dur, des longues lignes droites très pentues interminables avant une petite épingle pour recommencer de même !
On pause de temps en temps.
Il est plus de 13h quand on arrive à Laguna à 2 kilomètres du sommet pour la pause casse-croûte sur la terrasse du bar.
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| Une petite pause dans la montée |
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| On prend de la hauteur |
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| Pause photo |
Il est plus de 13h quand on arrive à Laguna à 2 kilomètres du sommet pour la pause casse-croûte sur la terrasse du bar.
Repas léger au programme car il faut encore monter après !
L'orage se déclenche pendant la pause et il pleut. Heureusement nous sommes abrités.
On profite d'une éclaircie pour repartir mais ça ne dure que quelques minutes. Il pleut tout le reste de la montée qui était très raide sur la fin. Le sommet finit quand même par se montrer.
Il pleut vraiment bien et il fait froid. J'ai pas trop envie de continuer ainsi tout mouillé et je repère une grande auberge municipale à O Cebreiro. Daniel est d'accord et on se réfugie à l'auberge pour s'abriter. C'est une grande installation et les dortoirs sont énormes !
On trouve nos places difficilement mais on finit par s'installer.
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| Pause déjeuner |
On profite d'une éclaircie pour repartir mais ça ne dure que quelques minutes. Il pleut tout le reste de la montée qui était très raide sur la fin. Le sommet finit quand même par se montrer.
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| L'orage est là ! |
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| Photo au sommet de O Cebreiro |
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| Daniel |
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| André |
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| Vue du sommet |
Il pleut vraiment bien et il fait froid. J'ai pas trop envie de continuer ainsi tout mouillé et je repère une grande auberge municipale à O Cebreiro. Daniel est d'accord et on se réfugie à l'auberge pour s'abriter. C'est une grande installation et les dortoirs sont énormes !
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| O Cebreiro |
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| Auberge de pèlerins de O Cebreiro |
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| Nos lits |
On trouve nos places difficilement mais on finit par s'installer.
Ouf sauvés ! Une bonne douche et on profite d'un peu de repos après cette terrible montée.
Demain c'est la descente vers Sarria.
Mardi 13 juin
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| Vue du balcon de l'auberge |
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| Nos vélos dehors, sniff sniff les pauvres ! |
Mardi 13 juin
O Cebreiro - Ligonde : 92 kilomètres
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Réveil à 6h30 ce matin en même temps que tout le dortoir qui s'agite.
Une chance d'avoir trouvé une place à l'auberge hier soir car après cette terrible montée et la pluie, on n'aurait pas pu aller bien loin après tant d'efforts. C'était bien plus raisonnable de se mettre à l'abri.
Départ vers 7h30 pour Sarria avec au programme une belle descente mais avant ça regrimpe un peu avec deux Alto à passer.
On est bien habillé ce matin en prévision de la descente car il fait seulement 7 degrés. La pluie annoncée n'est pas la tant mieux.
Daniel est stupéfait de me voir pied nu en sandales et use de plusieurs expressions québécoise pour imaginer ça !
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| O Cebreiro |
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| Auberge de O Cebreiro |
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| Vue de l'auberge |
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| Vue de l'auberge |
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| André et son beau vélo ! |
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| Premier Alto |
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| Statue de pèlerin |
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| Le Pèlerin |
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| Magnifique vue |
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| Revoilà le pèlerin ! |
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| Lever du jour |
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| Deuxième Alto |
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| De la brume plus bas |
Au bas de la descente, on s'arrête pour un bon café et se réchauffer un peu à Triacastela.
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| Pause café à Triacastela |
Sur la route de Sarria, on passe par le joli coin de Samos et son abbaye.
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| Abbaye de Samos |
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| Abbaye de Samos |
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| C'est pas une bonne tête de pèlerin ça ! |
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| Samos |
A Sarria, on en profite pour faire les courses du jour et prendre du pain.
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| Ravitaillement à Sarria |
Avant de sortir de la ville, on fait une petite pause et on mange quelques gâteaux car une longue remontée nous attend sur la route de Portomarin.
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| Sarria |
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| Sarria |
A midi on trouve un coin sympa pour le déjeuner et en plus il fait beau !
On pensait être tranquille mais nous sommes envahi par un troupeau de moutons et de chèvres ! C'est plutôt marrant et ça anime le repas dont j'avais la charge. Chacun son tour !
On reprend la route pour Portomarin et il fait vraiment chaud.
Daniel se souvient d'y être déjà passé et dit que le village en haut est très beau. On fait donc l'effort d'y monter et je ne le regrette pas du tout, un coin vraiment sympa et très touristique.
A nouveau une très longue montée pour quitter Portomarin en route pour Palas de Rei, près de 10 kilomètres !
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| Déjeuner à Paradéla |
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| C'est moi qui l'ai fait ! |
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| André |
On reprend la route pour Portomarin et il fait vraiment chaud.
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| Portomarin |
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| Portomarin |
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| Portomarin |
Daniel se souvient d'y être déjà passé et dit que le village en haut est très beau. On fait donc l'effort d'y monter et je ne le regrette pas du tout, un coin vraiment sympa et très touristique.
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| Portomarin |
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| Portomarin |
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| Portomarin |
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| Portomarin |
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| Portomarin |
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| Portomarin |
A nouveau une très longue montée pour quitter Portomarin en route pour Palas de Rei, près de 10 kilomètres !
Pas grand chose à prendre en photo en cette fin d'après-midi.
Une averse nous rattrape mais ça ne durera pas longtemps.
On décide de faire un bivouac car Daniel n'aime pas trop les auberges et ses ronfleurs ! Il préfère le chant des oiseaux.
Vers 18h00, on s'arrête pour dîner sur une table de pique nique dans un tout petit village tranquille.
On repart une dernière fois en quête d'un lieu de Bivouac. On trouve un coin tranquille quelques kilomètres plus loin et on s'installe.
Demain on fait route vers Compostelle à environ 60 kilomètres de là. Ce sera auberge demain en ville.
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| Dîner à Montrosso |
On repart une dernière fois en quête d'un lieu de Bivouac. On trouve un coin tranquille quelques kilomètres plus loin et on s'installe.
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| Bivouac ce soir |
Mercredi 14 juin
Palas de Rei - Compostelle : 76 kilomètres
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Un réveil tranquille de notre bivouac au chant des petits oiseaux !
Pas de ronfleurs pour le coup, ça fait du bien.
Un départ dans la brume avec 15 degrés. Ça m'oblige à sortir le gilet de sécurité et à allumer toutes mes lampes. On voit vraiment pas grand chose.
Une route vers Saint Jacques de Compostelle aujourd'hui avec un premier passage à Palas de Rei.
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| Départ dans la brume |
A Palas de Rei, je décide de faire tamponner mon crédential une dernière fois et m'arrête dans une boutique qui le permet. Nous sommes reçus par un type extraordinaire qui à fait des milliers de kilomètres à vélo malgré une jambe amputée. Il fait du vélo de voyage avec une prothèse.
Il est super gentil et nous offre un tampon très joli avec un petit vélo ! Trop bien !
Il est dans le Guinness Book parait-il.
Après ça, nous faisons route sur Melide dans une succession de montée descente permanente.
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| Un type extraordinaire ! |
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| Son joli sceau offert gratuitement |
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| Palas de Rei |
Après ça, nous faisons route sur Melide dans une succession de montée descente permanente.
On s'occupe aussi du ravitaillement pour le petit déjeuner et le déjeuner.
Toujours sur la route de Compostelle, nous croisons de plus en plus de pèlerins !
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| Melide |
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| Melide |
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| Melide |
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| Pause petit déjeuner de |
Toujours sur la route de Compostelle, nous croisons de plus en plus de pèlerins !
Un passage photos à O Pino et on s'arrête à la sortie pour déjeuner. Pas trop de coins propices aux arrêts mais on trouve de l'ombre dans un champ car il fait très chaud à midi.
Une remorque nous sert de table.
Après le repas, nous ne sommes plus qu'à 15 kilomètres de la cathédrale de Compostelle.
On commence à entrer dans la ville 5 kilomètres avant la cathédrale et les pèlerins se comptent par centaines et marchent en file indienne vers le Graal !
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| Pause photo à O Pino |
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| Déjeuner champêtre ! |
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| Salade et empenada |
Après le repas, nous ne sommes plus qu'à 15 kilomètres de la cathédrale de Compostelle.
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| Compostelle approche ! |
On commence à entrer dans la ville 5 kilomètres avant la cathédrale et les pèlerins se comptent par centaines et marchent en file indienne vers le Graal !
Pour nous, il faut compter avec la circulation car les trottoirs sont impraticables.
A 15h, voilà c'est fait ! Je suis devant la cathédrale et heureux d'être là, en plus avec un nouvel ami !
On pose ensemble pour la photo souvenir que je garderai précieusement.
On visite un peu et nous passons valider notre crédential pour devenir officiellement un pèlerin.
Voilà, nous sommes pèlerins de Compostelle !
Après la fin de la visite de Compostelle, on s'arrête boire une bonne bière pour fêter notre certificat tout frais ! Ça s'arrose !
Maintenant il faut trouver une place dans une auberge car avec tout ce monde, certaines sont pleines.
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| On y est presque ! |
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| Un petit passage dans la circulation urbaine |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
A 15h, voilà c'est fait ! Je suis devant la cathédrale et heureux d'être là, en plus avec un nouvel ami !
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| J'y suis ! |
On pose ensemble pour la photo souvenir que je garderai précieusement.
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| Avec mon ami québécois Daniel |
On visite un peu et nous passons valider notre crédential pour devenir officiellement un pèlerin.
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| Compostelle |
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| Le crédential et le certificat de pèlerin |
Voilà, nous sommes pèlerins de Compostelle !
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| André le pèlerin ! |
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| Compostelle |
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| Un deuxième passage pour être sûr ! |
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| Cathédrale de Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
Après la fin de la visite de Compostelle, on s'arrête boire une bonne bière pour fêter notre certificat tout frais ! Ça s'arrose !
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| La bière de l'amitié ! |
Maintenant il faut trouver une place dans une auberge car avec tout ce monde, certaines sont pleines.
C'est chose faite à tout juste 1 kilomètres du centre, quelle chance.
Nos vélos sont à l'abri à l'intérieur et nous nous installons.
Il est déjà 20h00 et on dîne des restes de nos sacoches, ce qui suffit amplement car nous trouvons aussi de la nourriture à l'auberge.
Après une bonne pause café à 11h00, la visite reprend et nous sommes vite arrivé à 13h00.
Une auberge sympa et calme où je suis bien installé dans une petite chambre. Une bonne douche et repos !
Je repasse par la case pose photo obligatoire pour être sûr d'en avoir une de bonne. Pas facile vu le bestiau à côté du vélo !
Retour facile à Fisterra ensuite pour chercher une auberge.
Je suis sur le bon chemin et je croise quelques pèlerins en route pour Muxia.
Je suis sur de toutes petites routes et il n'y a aucune circulation.
J'aperçois rarement la mer car je passe dans la forêt de pins et d'eucalyptus.
C'est très vallonné et beaucoup de petites montées très raides sont au programme ce matin.
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| Une dernière auberge à Compostelle |
Il est déjà 20h00 et on dîne des restes de nos sacoches, ce qui suffit amplement car nous trouvons aussi de la nourriture à l'auberge.
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| Dîner tranquille dehors à l'auberge. |
Cette arrivée à Compostelle ne signifie pas la fin du voyage car il me reste 6 jours pour aller à Fisterra et au Cap Finistère. Je vais donc me promener dans le coin seul car Daniel et moi nous nous quittons à midi après un resto qu'on s'était promis de faire.
Jeudi 15 juin
Saint Jacques de Compostelle - Negreira : 30 kilomètres
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Aujourd'hui réveil cool vers 8h00 car ce matin, on reste visiter Saint Jacques de Compostelle.
Après le petit déjeuner, on quitte l'auberge à 9h00 et il fait grand beau temps. Pas un nuage et il fait déjà chaud.
Visite donc de la ville ce matin de long en large en attendant d'aller au resto à 13h00.
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Un petit selfie ! |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Daniel |
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| Le marché de Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
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| Compostelle |
Après une bonne pause café à 11h00, la visite reprend et nous sommes vite arrivé à 13h00.
Déjà du monde devant le resto encore fermé et on fait la queue aussi. Ce resto est très couru pour son rapport qualité prix.
Bon ben voilà, après ce bon repas, il est temps de se séparer Daniel et moi. On aura passé quatre jours très agréables ensemble et ça va me faire drôle d'être seul à nouveau pour la fin du voyage.
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| Restaurant Casa Manolo |
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| Une petite bière ! |
Bon ben voilà, après ce bon repas, il est temps de se séparer Daniel et moi. On aura passé quatre jours très agréables ensemble et ça va me faire drôle d'être seul à nouveau pour la fin du voyage.
Daniel retourne à Alicante en bus et moi, il me reste quelques jours pour aller au Cap Finistère et Muxia.
Une dernière photo ensemble et je laisse Daniel à Saint Jacques de Compostelle. Moi je prend la route de Negreira à 20 kilomètres pour une petite étape. Ça va me permettre d'arriver tôt et de me reposer un peu.
L'étape vers le Cap Finistère va être costaud demain.
Ça roule tranquille au soleil mais une bonne montée m'attend avant l'auberge, bien méritée du coup.
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| Une dernière photo ! |
Ça roule tranquille au soleil mais une bonne montée m'attend avant l'auberge, bien méritée du coup.
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| Negreira en vue |
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| Negreira |
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| Negreira |
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| Negreira |
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| Negreira |
Une auberge sympa et calme où je suis bien installé dans une petite chambre. Une bonne douche et repos !
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| Auberge de Negreira |
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| Mon lit pour ce soir |
Vendredi 16 juin
Negreira - Fisterra : 70 kilomètres
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Hier soir, j'ai eu beaucoup de chance à l'auberge. Déjà le propriétaire parlait français et comme il voulait me donner un lit superposé à l'étage et en haut, je lui dis que j'ai du mal à escalader le lit avec mes prothèses de hanche. Du coup, il me surclasse dans une chambre au rez-de-chaussée pour handicapé ! Je n'en demandais pas tant mais c'est vraiment sympa de sa part. Je suis très à l'aise dans cette grande chambre avec un lit normal.
Je me réveille assez tôt et je suis prêt à partir à 7h00 direction Cee et Fisterra. Il fait beau ce matin avec une bonne température.
Une dizaine de kilomètres de montée au départ et je trouve un café au sommet à Alto Pina.
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| Auberge de Negreira, prêt au départ |
Une dizaine de kilomètres de montée au départ et je trouve un café au sommet à Alto Pina.
Petit déjeuner avec un bon gâteau maison et c'est reparti.
Je traverse de jolis paysages avec notamment de beaux eucalyptus.
Je me crois même un moment en Bretagne avec ces blocs de granit ! C'est très ressemblant aux paysages des Monts d'Arrée.
Je passe le petit village de Olveiroa et sa belle église.
A 11h00, j'aperçois enfin la mer ! Ça faisait longtemps que j'attendais ça ! Je suis à Cee où je pensais me ravitailler mais tous les supermarchés sont fermés. Je ne sais pas pourquoi !
Je trouve quand même une boulangerie pour un petit en-cas.
Un pèlerin suisse très sympa avec qui je discute un peu me prend en photo sur la plage de Cee.
Je continue vers Fisterra et le Cap.
A Estorde, vers midi, j'ai vraiment très faim et absolument rien dans mes sacoches ! Je m'arrête déjeuner dans un petit bar sur le bord de la plage.
Je repars difficilement après la tortilla mais fini par arriver à Fisterra où je fais quelques photos avant de monter au Cap Finistère.
La visite du Cap me demande encore quelques efforts ! La pente est cependant moins forte qu'annoncée heureusement.
Déjà des jolies vues en montant.
L'avant dernière borne m'annonce 356 mètres ! J'y suis presque !
Le phare apparaît enfin. Ce n'est pas une construction particulièrement belle mais plutôt simple.
Je pose pour l'incontournable photo souvenir du kilomètre zéro. Pas peu fier le André !
Après ça, je vais faire le tour du phare et prend bien sûr une tonne de photos !
Sur le dernier autel dans les rochers sur la pointe, des pèlerins laissent leurs pompes usagées ! Certaines ont vraiment vécues, d'autres moins.
Bon ben que dire sinon que c'est beau ! Comme tous les caps et les phares en général.
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| Pause café à Alto Pina |
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| Lever du jour |
Je traverse de jolis paysages avec notamment de beaux eucalyptus.
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| Des forêts d'eucalyptus |
Je me crois même un moment en Bretagne avec ces blocs de granit ! C'est très ressemblant aux paysages des Monts d'Arrée.
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| Les Mont d'Arrée ? |
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| Un séchoir ? |
Je passe le petit village de Olveiroa et sa belle église.
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| Olveiroa |
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| Olveiroa |
A 11h00, j'aperçois enfin la mer ! Ça faisait longtemps que j'attendais ça ! Je suis à Cee où je pensais me ravitailler mais tous les supermarchés sont fermés. Je ne sais pas pourquoi !
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| La mer ! A Cee |
Je trouve quand même une boulangerie pour un petit en-cas.
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| Pause café à Cee |
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| Cee |
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| Cee |
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| Cee |
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| Cee |
Un pèlerin suisse très sympa avec qui je discute un peu me prend en photo sur la plage de Cee.
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| Cee |
Je continue vers Fisterra et le Cap.
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| Corcubion |
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| Corcubion |
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| Corcubion |
A Estorde, vers midi, j'ai vraiment très faim et absolument rien dans mes sacoches ! Je m'arrête déjeuner dans un petit bar sur le bord de la plage.
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| Plage d'Estorde |
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| Déjeuner à Estorde |
Je repars difficilement après la tortilla mais fini par arriver à Fisterra où je fais quelques photos avant de monter au Cap Finistère.
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| C'est écrit dessus |
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| Fisterra en vue |
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| Le Cap Finistère |
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| Piste cyclable |
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| Fisterra |
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| Fisterra |
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| Plage de Fisterra |
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| Fisterra |
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| Des poissons pas farouches |
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| Fisterra |
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| Fisterra |
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| Fisterra |
La visite du Cap me demande encore quelques efforts ! La pente est cependant moins forte qu'annoncée heureusement.
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| Encore un effort André ! |
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| Le Pèlerin |
Déjà des jolies vues en montant.
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| La mer ! |
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| Mon vélo et le pèlerin |
L'avant dernière borne m'annonce 356 mètres ! J'y suis presque !
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| J'y suis presque ! |
Le phare apparaît enfin. Ce n'est pas une construction particulièrement belle mais plutôt simple.
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| Cap Finistère |
Je pose pour l'incontournable photo souvenir du kilomètre zéro. Pas peu fier le André !
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| J'y suis ! |
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| Kilomètre zéro |
Après ça, je vais faire le tour du phare et prend bien sûr une tonne de photos !
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| Le phare |
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| L'autre côté du phare |
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| Le Cap Finistère |
Sur le dernier autel dans les rochers sur la pointe, des pèlerins laissent leurs pompes usagées ! Certaines ont vraiment vécues, d'autres moins.
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| Le dernier autel ! |
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| J'y ai aussi mis un caillou ! |
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| Une pompe en bronze, je comprends qu'on la laisse surplace ! |
Bon ben que dire sinon que c'est beau ! Comme tous les caps et les phares en général.
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| La côte |
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| Une des nombreuses stèles |
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| Flipper |
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| Et Oum est la aussi ! |
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| La mer ! |
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| Flipper et oum |
Je repasse par la case pose photo obligatoire pour être sûr d'en avoir une de bonne. Pas facile vu le bestiau à côté du vélo !
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| Et hop une deuxième pour être sûr ! |
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| Moi-même |
Retour facile à Fisterra ensuite pour chercher une auberge.
La municipale est fermée mais j'en trouve une autre pour à peine plus cher.
Un gars sympa aussi a l'accueil. Un lit en hauteur aujourd'hui, pas le choix car il restait 3 places seulement.
Mon vélo est à l'abri dans un local fermé trois ou quatre maisons plus loin, nickel. Un supermarché est ouvert à 20 mètres et je suis donc sauvé.
Demain, petite étape sans doute car à part aller à Muxia, après je sais pas trop. On verra l'inspiration demain.
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| L'auberge de Fisterra |
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| Mon lit en haut cette fois-ci |
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| La cuisine |
Samedi 17 juin
Fisterra - Muxia : 49 kilomètres
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Réveil tranquille ce matin à l'auberge. Comme il y avait tout e qu'il fallait surplace, j'en ai profité pour faire ma lessive de la semaine hier soir.
Petit kilométrage prévu aujourd'hui pour Muxia.
Je prend le temps du petit déjeuner et c'est parti pour Muxia. Deux ou trois photos à Fisterra et route en essayant de longer la côte, ce qui ne sera pas facile !
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| Fisterra |
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| Fisterra |
Je suis sur le bon chemin et je croise quelques pèlerins en route pour Muxia.
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| Toujours le Camino |
Je suis sur de toutes petites routes et il n'y a aucune circulation.
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| Des petites routes tranquilles |
J'aperçois rarement la mer car je passe dans la forêt de pins et d'eucalyptus.
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| La mer ! |
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| La côte |
C'est très vallonné et beaucoup de petites montées très raides sont au programme ce matin.
Un parcours exigeant pour lequel il faut vraiment de bonnes jambes !
Heureusement je suis en grande forme aujourd'hui !
J'ai demandé à un vieux paysan espagnol si c'était bien des séchoirs. C'est bien le cas et on y sèche le maïs très cultivé dans le coin sur des petites parcelles.
Comme je n'ai pas beaucoup de kilomètres de prévu aujourd'hui, je décide de faire un détour pour aller voir le phare de Tourinan.
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| Petit village endormi |
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| Ça grimpe ! |
J'ai demandé à un vieux paysan espagnol si c'était bien des séchoirs. C'est bien le cas et on y sèche le maïs très cultivé dans le coin sur des petites parcelles.
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| Séchoir à maïs |
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| Eglise de Rebordelo |
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| Le Cap Finistère au loin |
Comme je n'ai pas beaucoup de kilomètres de prévu aujourd'hui, je décide de faire un détour pour aller voir le phare de Tourinan.
Je me perd un peu dans les petites routes et fini sur une piste sur plus d'un kilomètre ! Je dois pousser un peu le vélo au début mais après je m'en sort pas trop mal et retrouve la route.
Le phare est sur une presqu'île et je devrais faire l'aller-retour.
J'arrive à 11h au pied du phare et c'est un endroit magnifique et très tranquille. De rares promeneurs passent mais vraiment très peu.
Un randonneur me prend en photo et discute un peu avec moi.
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| Fin de la route ! |
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| Début d'un kilomètre de piste ! |
Le phare est sur une presqu'île et je devrais faire l'aller-retour.
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| Presqu'île de Cabo Tourinan |
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| C'est vraiment comme les Monts d'Arrée ! |
J'arrive à 11h au pied du phare et c'est un endroit magnifique et très tranquille. De rares promeneurs passent mais vraiment très peu.
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| Phare de Tourinan |
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| Phare de Tourinan |
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| La falaise |
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| La falaise |
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| Moi et mon beau vélo au phare |
Un randonneur me prend en photo et discute un peu avec moi.
Je fais une pause casse-croûte qui finalement se transforme en pause repas.
Je reste au moins 2h au phare. Le réseau téléphone est étonnamment très bon et je règle quelques affaires courantes.
J'échange mon billet de bus Alsa de Compostelle à Irun prévu le 22 dans la journée pour un billet de nuit avec départ à 18h le 21. Autant faire 12h de bus la nuit et je ne serai pas obligé de me lever très tôt pour emballer mon vélo et mes bagages.
Je réserve aussi un camping à Hendaye pour le soir du 22. Mes trains pour la Bretagne sont le 23.
Je reprend la route pour Muxia à 15 kilomètres de là. Encore de belles montées sur la route !
Je suis à Muxia à 15h et je trouve la ville extrêmement calme. Peu de monde s'y promène.
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| Déjeuner au phare |
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| C'est beau |
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| Magnifique la côte |
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| La falaise |
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| Le phare de Tourinan |
Je reprend la route pour Muxia à 15 kilomètres de là. Encore de belles montées sur la route !
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| Cap Finistère au loin |
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| Roc Trédudon ? |
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| La plage 😍 |
Je suis à Muxia à 15h et je trouve la ville extrêmement calme. Peu de monde s'y promène.
Je file vers le phare et le sanctuaire.
Un bien bel endroit ! Je mitraille de photos le coin ! Je fais le tour du sanctuaire et monte voir la borne du kilomètre zéro.
Un dernier effort m'attend car mon auberge est en haut d'une petite rue à au moins 15% de pente ! Même les pèlerins que je croise y monte en faisant des zig-zag !
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| Arrivé à Muxia |
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| Phare de Villueira en face |
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| La mer ! |
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| Phare de Muxia |
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| Phare de Muxia |
Un bien bel endroit ! Je mitraille de photos le coin ! Je fais le tour du sanctuaire et monte voir la borne du kilomètre zéro.
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| Sanctuaire de Virxe de Barca |
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| Sanctuaire de Virxe de Barca |
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| Sanctuaire de Virxe de Barca |
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| Sanctuaire de Virxe de Barca |
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| Phare de Muxia |
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| Kilomètre zéro de Muxia |
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| Sanctuaire de Virxe de Barca |
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| La côte |
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| Miradoiro Jésus de Quintanal |
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| Borne kilomètre zéro |
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Un dernier effort m'attend car mon auberge est en haut d'une petite rue à au moins 15% de pente ! Même les pèlerins que je croise y monte en faisant des zig-zag !
C'est une grande auberge moderne et mon vélo est en sécurité à l'intérieur. Mes affaires aussi car il y a de grands casiers qui ferment à clé.
Je fais l'effort de monter voir le poulpe.
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| Auberge de Muxia |
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| Mon vélo à l'abri à l'étage |
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| Triplement cadenassé ! |
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| Mon lit en bas aujourd'hui ! |
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| Des casiers qui ferment ! Rassurant |
A cette heure, pas encore de projets pour demain ! Je vais y réfléchir ce soir.
Dimanche 18 juin
Muxia - La Corogne : 93 kilomètres
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J'étais installé assez tôt hier à l'auberge pour faire un petit tour en ville et m'en jeter une petite en passant !
Cette auberge manque cruellement de vie avec ces grands espaces vide.
Pourtant il y a un peu de monde dans le dortoir.
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| Muxia |
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| Muxia |
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| Hum c'est bon ça ! |
J'étais indécis sur la destination hier mais finalement j'opte pour une visite de la Corogne à environ 100 kilomètres de là. Ensuite je serai aussi à 100 kilomètres de Compostelle. J'ai trois jours pour y retourner, ça va le faire.
Départ avec un temps correct vers 7h30. Je vise dans un premier temps la ville de Laxe.
Absolument aucune circulation ce matin sur ces toutes petites routes dont certaines rénovées récemment.
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| Vamos a la playa ! |
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| Plage de Lago |
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| Muxia en face |
Absolument aucune circulation ce matin sur ces toutes petites routes dont certaines rénovées récemment.
Comme tous les jours, évidemment ça grimpe, assez court et fort le matin, plus long et moins pentu l'après-midi.
Une petite pause café à Ponte Do Porto, un joli petit coin.
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| Une belle route toute neuve |
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| A Ponte Do Porto |
Une petite pause café à Ponte Do Porto, un joli petit coin.
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| Pause café |
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| Eglise de Ponte Do Porto |
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| Ponte Do Porto |
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| Plage de Traba |
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| Des beaux citrons ! |
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| Laxe |
J'arrive à L'axe à 11h00. J'avais oublié qu'on était dimanche et évidemment tout est fermé et je n'ai pas grand chose dans mes sacoches. Je devrais faire avec.
Je visite un peu Laxe qui vaut le détour.
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| Laxe |
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| Laxe |
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| Plage de Laxe |
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| Plage de Laxe |
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| As Grelas |
Je suis à midi à As Grelas au fond d'une anse et je reste y déjeuner. Le temps commence à changer et ça devient gris, la pluie n'est pas loin.
Je repars en direction de Carballo.
Une fois à Carballo, c'est les grandes eaux. La pluie qui avait commencée doucement vire au déluge ! Je fais quelques kilomètres là-dessous et trouve une pâtisserie pour m'abriter.
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| Déjeuner à As Grelas |
Je repars en direction de Carballo.
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| A Telleira |
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| Carballo |
Une fois à Carballo, c'est les grandes eaux. La pluie qui avait commencée doucement vire au déluge ! Je fais quelques kilomètres là-dessous et trouve une pâtisserie pour m'abriter.
Du coup forcément j'en profite un peu pour nourrir la bête !
A Laracha, c'est à nouveau le déluge mais cette fois, je trouve la parade grâce au coup du sombréro ! Olé !
Ça grimpe, ça grimpe tant bien que j'arrive à la hauteur du Mont Blanc ! Si si c'est écrit sur la colline !
Un déluge de plus et je trouve abri dans une cabine de bus.
Je suis à 8 kilomètres de la Corogne et j'en ai marre de toute cette pluie ! Je profite d'une petite éclaircie pour monter rapidement un bivouac à l'arrache pour enfin être à l'abri.
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| Pause réconfort bien à l'abri de la pluie ! |
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| A Laracha |
A Laracha, c'est à nouveau le déluge mais cette fois, je trouve la parade grâce au coup du sombréro ! Olé !
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| La parade contre la pluie Olé ! |
Ça grimpe, ça grimpe tant bien que j'arrive à la hauteur du Mont Blanc ! Si si c'est écrit sur la colline !
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| Je suis si haut ! |
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| La tête dans les nuages ! |
Un déluge de plus et je trouve abri dans une cabine de bus.
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| Ça tombe fort ! |
Je suis à 8 kilomètres de la Corogne et j'en ai marre de toute cette pluie ! Je profite d'une petite éclaircie pour monter rapidement un bivouac à l'arrache pour enfin être à l'abri.
Visite de la Corogne demain !
A peine installé, la pluie revient mais cette fois-ci je suis à l'abri.
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| Bivouac à l'arrache pendant une accalmie ! |
A peine installé, la pluie revient mais cette fois-ci je suis à l'abri.
Lundi 19 juin
La Corogne - O Meson Do Vento : 57 kilomètres
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J'ai bien dormi dans mon bivouac mais avec mes bouchons d'oreilles car j'étais très près de la route très fréquentée.
J'ai juste le temps de remballer ma tente que la pluie recommence.
Il a plu toute la soirée hier.
Aujourd'hui sera une suite ininterrompue d'averses plus ou moins fortes et longues.
Comme j'étais tout près, j'arrive rapidement à la Corogne.
Une ville magnifique qui me plaît beaucoup ! Plein de choses à voir et quelle baie !
J'essaye d'en faire le tour et de tout voir.
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
Je fais l'effort de monter voir le poulpe.
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| El pulpo |
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| El pulpo |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
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| La Corogne |
J'arrive à la tour d'Hercule. J'y monte aussi pour la voir de près et admirer la vue. Magnifique !
Je m'accorde une pause petit déjeuner en traversant la ville pour aller voir la place principale.
C'est vraiment une très jolie ville avec de très beaux immeubles tous plus surprenant les uns que les autres.
Il est plus de 11h30 quand je termine la visite et commence à sortir de la ville.
Demain direction Saint Jacques de Compostelle sur une route courte et facile normalement ! Je suis à 35 kilomètres.
Rien à prendre en photo sur cette grande route qui traverse peu de villages.
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| Torre de Hercules |
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| Torre de Hercules |
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| La Corogne |
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| Torre de Hercules |
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| Torre de Hercules |
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| Torre de Hercules |
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| Torre de Hercules |
Je m'accorde une pause petit déjeuner en traversant la ville pour aller voir la place principale.
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| Pause petit déjeuner |
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| La Corogne |
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| Eglise Saint Augustin |
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| Eglise Saint Augustin |
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| Eglise Saint Augustin |
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| Praza de Maria Pita |
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| Statue de Maria Pita |
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| Praza de Maria Pita |
C'est vraiment une très jolie ville avec de très beaux immeubles tous plus surprenant les uns que les autres.
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| La Corogne |
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| Le port |
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| L'obelisco |
Il est plus de 11h30 quand je termine la visite et commence à sortir de la ville.
Je me perd un peu car avec la pluie, j'ai rangé mon GPS et mon téléphone. Je vise la ville de Cambre dans un premier temps.
Il est midi passé quand je m'abrite un peu à O Burgo. J'en profite pour manger, ce qui fera bien rigoler un viel espagnol sur le banc à côté.
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| Culleredo |
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| O Burgo |
Il est midi passé quand je m'abrite un peu à O Burgo. J'en profite pour manger, ce qui fera bien rigoler un viel espagnol sur le banc à côté.
Il essaye de me dire des trucs mais je comprends vraiment rien du tout, dommage !
Je trouve enfin Cambre et a partir de là, je vais grimper assez haut sur la route de Saint Jacques de Compostelle. Heureusement la pluie fait une pause en milieu d'après-midi pendant que je grimpe.
Le sommet fini par arriver et je m'accorde une petite bière en guise de récompense bien méritée !
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| Pause déjeuner à O Burgo |
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| O Temple |
Je trouve enfin Cambre et a partir de là, je vais grimper assez haut sur la route de Saint Jacques de Compostelle. Heureusement la pluie fait une pause en milieu d'après-midi pendant que je grimpe.
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| Cambre |
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| Pause café à l'abri à Cambre |
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| Carral au pied de la montée |
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| Je prend de la hauteur |
Le sommet fini par arriver et je m'accorde une petite bière en guise de récompense bien méritée !
Bon je reste près de 30 minutes, le temps qu'il me faut pour ouvrir toutes les cacahuètes !
La pluie menace à nouveau et je m'installe pour un dernier bivouac bien à l'abri du vent qui s'est levé.
J'ai le temps de m'installer au sec avant que la pluie ne revienne pour une averse assez courte.
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| Récompense au sommet ! |
J'ai le temps de m'installer au sec avant que la pluie ne revienne pour une averse assez courte.
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| Un dernier bivouac bien à l'abri du vent |
Demain direction Saint Jacques de Compostelle sur une route courte et facile normalement ! Je suis à 35 kilomètres.
Installation prévue à l'auberge demain mardi et départ en bus pour Irun mercredi après-midi.
Mardi 20 juin
O Meson Do Vento - Compostelle : 33 Kilomètres
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Ce matin je prends tout mon temps pour me lever car j'ai une toute petite journée de vélo qui m'attend.
Je me lève passé 9h00, ce qui est rare et je suis près à partir à 9h45.
Je ne m'embarrasse pas avec la route et je file tout droit sur la route principale. Il y a du monde mais j'ai toujours de l'espace pour rouler en sécurité.
Il y a du brouillard au départ et je mets mon harnais de sécurité et sors toutes mes lampes. Heureusement ça s'éclaircie rapidement.
Quelques kilomètres après le départ, je m'arrête à Ordes pour le petit déjeuner.
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| Petit déjeuner à Ordes |
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| Ordes |
Rien à prendre en photo sur cette grande route qui traverse peu de villages.
Je me ravitaille à midi à Sigueiro et je reste y déjeuner sur un banc.
A peine reparti, la pluie apparaît et ne me lachera plus jusqu'à l'auberge.
Je suis trempé à mon arrivée mais enfin à l'abri.
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| Déjeuner à Sigueiro |
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| Compostelle en vue |
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| Compostelle |
Je suis trempé à mon arrivée mais enfin à l'abri.
Lavage et rasage puis ensuite repos !
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| Trempé ! |
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| Mon lit en bas |
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| Des casiers qui ferment ! |
Demain je prends un bus Alsa pour Irun dans l'après-midi qui roulera toute la nuit. Arrivée à 6h20 jeudi.
Si la pluie cesse, j'irai faire un tour en ville.
Mercredi 21 juin
Saint Jacques de Compostelle - Irun en bus Alsa
Aujourd'hui départ pour Irun en bus à 17h45.
Ça me laisse tout le temps de refaire une visite complète de Compostelle.
Je traîne un peu à l'auberge que je quitte à 10h00.
Je fais des zigs et des zags en ville tranquille et je crois bien que je passe dans chacune des rues !
Je fais une tonne de photos bien sûr !
Pause petit déjeuner dans un café et à 13h00, je retourne au resto la Casa Manolo pour au moins manger du poulpe une fois.
Pas de légende aux photos car elles sont toutes de Saint Jacques de Compostelle.
A 13h00, je fais la queue devant le restaurant et il y a déjà du monde.
Je mange enfin du poulpe ! ( Ça c'est pour Robert!).
La suite de la visite reprend et je fais aussi quelques courses pour manger dans le bus.
Je passe aussi au bazar chinois pour un sac et du scotch.
Je prépare mon vélo pour le bus en enlevant la roue avant, en enlevant aussi les pédales et en tournant le guidon. Je le glisse ensuite dans la housse que j'avais emmené avec moi.
Je mets mes sacoches dans mon sac chinois qui se déchire instantanément !
J'ai bien fais de prendre du film alimentaire en faisant mes courses !
J'emballe tout ça et ça devrait le faire !
Sur le quai certains n'utilise que des sacs poubelles.
Bon voilà, j'attendais d'être embarqué pour le dire, le vélo dans le Bus, c'est du gâteau avec Alsa !
C'est parti pour 12h de route.
Demain visite de Irun et route le camping à Hendaye.
Jeudi 22 juin
Hendaye
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| Un dernier camping |
Quelques nouvelles de mon retour en Bretagne avec la première étape en bus de Compostelle à Irun.
Je suis arrivé ce matin à 6h30 et j'ai pas vraiment dormi dans le bus ! Déjà il était plein et a fait beaucoup d'arrêts avec allumage de la lumière à chaque fois.
Pour ce qui est de l'embarquement du vélo dans la soute, aucun soucis. Bertrand un jeune français avait un vélo aussi et à fait le même trajet que moi.
On déhousse nos vélos ensemble à la gare de Irun et comme il pleut et qu'on est pas pressé tout les deux, on reste prendre plusieurs cafés ensemble en discutant vélo jusqu'à 10h00 fin de la pluie.
On se sépare et moi je file visiter la jolie ville de Hondarribia avant de traverser pour Hendaye en bateau.
Je reste déjeuner sur le port de plaisance et rejoins le camping à 14h00 pour me reposer avant une journée de train demain qui commence à 5h50 pour finir à 19h15 ! Encore une longue journée mais le train est bien mieux que le bus !
Voici quelques photos et a demain.
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| Gare d'Irun, il pleut ! |
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| Remontage des vélos |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Seul sur le traversier pour Hendaye |
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| Hondarribia vue du bateau |
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| Mon beau vélo ! Pourvu que l'on ne coule pas ! |
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| Hondarribia |
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| Hondarribia |
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| Là je sais plus ! |
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| Port de Hendaye |
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| Port de plaisance de Hendaye |
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| Pause déjeuner sur le port |
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| Plage de Hendaye |
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| Mon vélo et les deux Jumeaux |
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| Un dernier camping ! |
Vendredi 23 juin
Hendaye - Concarneau en train
Mon retour en train c'est bien passé aujourd'hui bien que mon dernier TER Nantes Rosporden était vraiment très rempli ! Heureusement que je suis monté en premier car il y aura pas moins de 8 vélos pour 3 places. Les gens sont obligés de voyager debout tellement il y a du monde.
Ça m'aura pris la journée en partant à 5h50 et en arrivant à 19h15 pour les trois trains. J'ai préféré assurer pour les correspondances en laissant une marge d'au moins une heure entre les trains.
Me voilà de retour à la maison et comme d'habitude, je ferai un petit retour sur ce voyage dans quelques jours.
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| TER Hendaye Bordeaux |
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| Intercités Bordeaux Nantes |
mardi 27 juin 2023
Me voilà de retour à la maison depuis quelques jours après ce très beau voyage à vélo en Espagne sur le chemin de Compostelle (Camino Francès). J'ai ensuite poursuivi jusqu'au Cap Finistère, Muxia et la Corogne pour rentrer en Bretagne de Saint Jacques de Compostelle. Un long retour !
Le parcours réalisé, assez loin des prévisions !
J'ai donc débuté ce voyage le 2 juin par une journée de train de Rosporden en Bretagne à Hendaye. Trois trains pour ce déplacement, deux TER et un intercités ( j’aurais les mêmes trains au retour).Je le finirai le 23 juin après 12 heures de bus de Saint Jacques de Compostelle à Irun suivie d’une journée de train d’Hendaye vers la maison en Bretagne. Un début de voyage assez difficile pour moi avec dès le premier jour dans la montée du col d’ Ibaneta vers Roncevalles, des crampes très invalidantes qui vont finalement durée près de quatre jours. Ces crampes vont quand même passer après avoir pris quelques compléments alimentaires et un peu de pommade adéquate trouvée à la pharmacie. Ces quelques jours difficiles chamboulent dès le départ mes prévisions de parcours avec une avancée bien moindre que prévue. Rien de grave et je revois mon objectif en me concentrant sur mon arrivée au cap Finistère. Pour être sûr, dès le quatrième jour, je réserve un billet de bus Alsa de Saint Jacques de Compostelle à Irun pour assurer mon retour à Hendaye pour mes trains de retour. Les premiers jours de voyage, je suis scrupuleusement le parcours que j’avais téléchargé. Ce parcours pourtant intitulé "Compostelle à vélo", s’avère être le même que les pèlerins. Du coup, juste après Pampelune, le chemin est vraiment trop difficile dans les cailloux et les fortes pente pour ma randonneuse bien trop chargée pour ce type de parcours. Je dois pousser quatre kilomètres dès le matin pour monter à l’Alto Ponte. A partir de là, j’adapterais ma route pour rester toujours au plus près du Camino Francès et rester sur des portions bien roulantes.Après ça, tout va bien mieux se passer et je vais pouvoir avancer correctement malgré un dénivelé présent tout les jours.Des orages le soir et une grosse chaleur en journée pour ces premiers jours. Les villes vont défilées les une après les autres, Logrono, Burgos, Léon et enfin Compostelle. Énormément de belles choses vues tout au long de ce beau parcours et chacune des villes merite la visite ! Un patrimoine exceptionnel sur cette route de pèlerinage exigeante avec de belles montées quasi quotidienne !Trois très grosses montées, une première pour le col d’Ibaneta, et deux autres en fin de parcours avec la Cruz del Fero et O Cebreiro. La suite du parcours après Saint Jacques de Compostelle vers le Cap Finistère, Muxia et la Corogne sera très vallonné aussi avec un temps capricieux en Galice avec beaucoup d’averses.Voilà pour le parcours lui-même.
Côté hébergement, deux bivouacs les premiers jours pour me mettre a l’abri des orages avant la pluie. Ensuite jusqu'au Cap Finistère, je logerai quasiment tout les soirs en auberges de pèlerins. Très bon marché et souvent très bien, j’ai toujours trouvé quelqu'un pour discuter un peu et je m’y suis plutôt bien reposé ( malgré les ronfleur ! ).A nouveau quelques bivouacs en allant vers la Corogne car en dehors du Camino.
Côté rencontre, carton plein avec beaucoup de belles rencontres ! J’ai fait toute la route de Saint Jean Pied de Port à Compostelle en croisant tous les jours un couple de croates et un groupe composé d’un allemand, d’un belge et d’un hollandais. C’était marrant de se voir régulièrement et on avait un petit mot ensemble tous les jours le matin ou l’après-midi, très sympa ! Et puis la rencontre du voyage avec le très sympathique québécois Daniel qui vit en Espagne. Arrivée à ma hauteur en roulant un matin juste après Burgos, on restera ensemble jusqu'à Saint Jacques de Compostelle près de 5 jours. J’ai donc gagné un ami avec qui je repartirai en voyage à vélo en fin août début septembre.
Ce voyage aura pour moi une place particulière de par son parcours très varié côté paysages, sa difficulté de par son dénivelé et par la multitude de personnes rencontrées. Un voyage au final de près de 1250 kilomètres et de 15000 mètres de dénivelé. Malgré que le pèlerinage en soit ne m’intéressait pas trop, pour avoir accès aux auberges, j’ai rempli quotidiennement mon crédential et j’ai quand même été chercher avec mon ami Daniel mon diplôme de pèlerin. Ça me fera de beaux souvenirs !
Côté météo, des orages le soir la première semaine avec des températures assez fortes en journée. Ensuite pour le reste du parcours, fini les fortes chaleur et place aux averses quotidiennes, surtout en Galice.Vous avez été très nombreux à me suivre et je vous en remercie.
A bientôt pour de prochaines aventures André !
Me voilà de retour à la maison depuis quelques jours après ce très beau voyage à vélo en Espagne sur le chemin de Compostelle (Camino Francès). J'ai ensuite poursuivi jusqu'au Cap Finistère, Muxia et la Corogne pour rentrer en Bretagne de Saint Jacques de Compostelle. Un long retour !
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| Le parcours réalisé, assez loin des prévisions ! |
J'ai donc débuté ce voyage le 2 juin par une journée de train de Rosporden en Bretagne à Hendaye. Trois trains pour ce déplacement, deux TER et un intercités ( j’aurais les mêmes trains au retour).
Je le finirai le 23 juin après 12 heures de bus de Saint Jacques de Compostelle à Irun suivie d’une journée de train d’Hendaye vers la maison en Bretagne.
Un début de voyage assez difficile pour moi avec dès le premier jour dans la montée du col d’ Ibaneta vers Roncevalles, des crampes très invalidantes qui vont finalement durée près de quatre jours.
Ces crampes vont quand même passer après avoir pris quelques compléments alimentaires et un peu de pommade adéquate trouvée à la pharmacie.
Ces quelques jours difficiles chamboulent dès le départ mes prévisions de parcours avec une avancée bien moindre que prévue.
Rien de grave et je revois mon objectif en me concentrant sur mon arrivée au cap Finistère.
Pour être sûr, dès le quatrième jour, je réserve un billet de bus Alsa de Saint Jacques de Compostelle à Irun pour assurer mon retour à Hendaye pour mes trains de retour.
Les premiers jours de voyage, je suis scrupuleusement le parcours que j’avais téléchargé. Ce parcours pourtant intitulé "Compostelle à vélo", s’avère être le même que les pèlerins. Du coup, juste après Pampelune, le chemin est vraiment trop difficile dans les cailloux et les fortes pente pour ma randonneuse bien trop chargée pour ce type de parcours. Je dois pousser quatre kilomètres dès le matin pour monter à l’Alto Ponte. A partir de là, j’adapterais ma route pour rester toujours au plus près du Camino Francès et rester sur des portions bien roulantes.
Après ça, tout va bien mieux se passer et je vais pouvoir avancer correctement malgré un dénivelé présent tout les jours.
Des orages le soir et une grosse chaleur en journée pour ces premiers jours.
Les villes vont défilées les une après les autres, Logrono, Burgos, Léon et enfin Compostelle. Énormément de belles choses vues tout au long de ce beau parcours et chacune des villes merite la visite ! Un patrimoine exceptionnel sur cette route de pèlerinage exigeante avec de belles montées quasi quotidienne !
Trois très grosses montées, une première pour le col d’Ibaneta, et deux autres en fin de parcours avec la Cruz del Fero et O Cebreiro. La suite du parcours après Saint Jacques de Compostelle vers le Cap Finistère, Muxia et la Corogne sera très vallonné aussi avec un temps capricieux en Galice avec beaucoup d’averses.
Voilà pour le parcours lui-même.
Côté hébergement, deux bivouacs les premiers jours pour me mettre a l’abri des orages avant la pluie. Ensuite jusqu'au Cap Finistère, je logerai quasiment tout les soirs en auberges de pèlerins. Très bon marché et souvent très bien, j’ai toujours trouvé quelqu'un pour discuter un peu et je m’y suis plutôt bien reposé ( malgré les ronfleur ! ).
A nouveau quelques bivouacs en allant vers la Corogne car en dehors du Camino.
Côté rencontre, carton plein avec beaucoup de belles rencontres ! J’ai fait toute la route de Saint Jean Pied de Port à Compostelle en croisant tous les jours un couple de croates et un groupe composé d’un allemand, d’un belge et d’un hollandais. C’était marrant de se voir régulièrement et on avait un petit mot ensemble tous les jours le matin ou l’après-midi, très sympa ! Et puis la rencontre du voyage avec le très sympathique québécois Daniel qui vit en Espagne. Arrivée à ma hauteur en roulant un matin juste après Burgos, on restera ensemble jusqu'à Saint Jacques de Compostelle près de 5 jours. J’ai donc gagné un ami avec qui je repartirai en voyage à vélo en fin août début septembre.
Ce voyage aura pour moi une place particulière de par son parcours très varié côté paysages, sa difficulté de par son dénivelé et par la multitude de personnes rencontrées. Un voyage au final de près de 1250 kilomètres et de 15000 mètres de dénivelé.
Malgré que le pèlerinage en soit ne m’intéressait pas trop, pour avoir accès aux auberges, j’ai rempli quotidiennement mon crédential et j’ai quand même été chercher avec mon ami Daniel mon diplôme de pèlerin. Ça me fera de beaux souvenirs !
Côté météo, des orages le soir la première semaine avec des températures assez fortes en journée. Ensuite pour le reste du parcours, fini les fortes chaleur et place aux averses quotidiennes, surtout en Galice.
Vous avez été très nombreux à me suivre et je vous en remercie.
A bientôt pour de prochaines aventures André !
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