TDF 1966 J44 Briançon - Fenestrelle (Italie)

Vendredi 27 juin 

Briançon - Fenestrelle (Italie) : 57 kilomètres 

Bonjour à tous 

Une soirée sympa hier soir au camping avec mes voisins motards qui m'invitent à boire une bière avec eux pour discuter un peu. 

Réveil tôt ce matin comme d'habitude et je suis prêt à partir à 6h20. Il fait déjà très beau.

Deux belles montées aujourd'hui au programme avec le col de Montgenèvre et celui de Sestrières.

Ça grimpe direct pour sortir de Briançon et c'est parti pour le premier col.

Briançon 

Fort de Briançon 

Briançon au loin 

La fin de la montée se fait dans de beaux lacets avec des vues magnifiques.

Ça grimpe ! Petite pause 

J'entre dans Montgenèvre mais ça continue à grimper encore 1 kilomètre.

Pas grand monde en ville à cette heure.

Montgenèvre 

Montgenèvre 

Montgenèvre 

Je trouve quelqu'un pour me faire une petite photo souvenir au panneau du col.

Col de Montgenèvre 

Montgenèvre 

Montgenèvre 

Montgenèvre 

C'est parti pour une première belle descente jusqu'à Cesana en Italie. En effet je passe la frontière italienne juste avant la ville de Clavière.

Passage en Italie pour quelques jours 

Je traverse Clavière qui est donc ma première ville italienne.

Ça descend assez fort et assez longtemps.

Clavière 

Clavière 

Clavière 

Je longe une belle corniche tout seul car les voitures passent dans un tunnel. La route n'est pas en très bon état. La vue est magnifique.

Première descente 

Une belle corniche !

Un long passage au frais m'attend dans un tunnel paravalanche. Ça fait du bien car il fait déjà 28 degrés vers 9h00.

Un long tunnel paravalanche 

J'arrive en bas de la descente à Cesana et je vais rester prendre mon petit déjeuner dans un petit parc sympa.

Cesana 

Pause petit déjeuner à Cesana au soleil 

Cesana 

Cesana 

Je fais le plein d'eau fraîche à Cesana avant d'attaquer le col de Sestrières.

Le plein d'eau fraîche 

Cesana 

Une belle montée m'attend dans ce col qui remonte à 2000 mètres.

Un dernier coup d'œil sur Cesana 

Champlas du Col 

Champlas du Col 

Champlas du Col 

J'aperçois enfin le sommet et Sestrières et ceux sont les derniers kilomètres les plus durs. 

J'arrive en ville à 11h30.

Sestrières en vue !

Comme à Montgenèvre, ça continue à grimper après le panneau d'entrée de la ville.

Sestrières 

Me voila enfin au sommet et je trouve un monument qui fait office de panneau de col ! J'en ai pas trouvé d'autres.

Sestrières 

Sestrières 

Sestrières 

Sestrières 

Col de Sestrières 

Sestrières 

Sestrières 

Monument des JO de 2006

Sestrières 

Je commence un peu à descendre et trouve abri dans une cabine de bus à l'ombre pour déjeuner à midi.

Pause déjeuner dans la descente 

Quand je repars, j'ai devant moi une descente qui me mènera à Turin demain.

Ça se couvre un peu pendant environ une heure et la température baisse à 25 degrés.

Traverses 

Traverses 

Des vaches !

Je connais quelques soucis de frein arrière dans la descente et je dois bricoler un peu pour le remettre en état en changeant le câble et les plaquettes.

Ça fonctionne parfaitement et c'est reparti pour la descente.

Petite réparation

Traverses 

Traverses 

Rivets 

Pragelato 

Pragelato 

La descente 

Pourrières 

Un long tunnel 

J'arrive très tôt à Fenestrelle et je me serais bien avancé un peu pour avoir moins de route demain, d'autant que ça descend vraiment bien mais je ne trouve aucun camping sur ma route pour Turin. Je préfère assurer le coup et je vais donc à celui de Fenestrelle.

Fenestrelle 

Le camping est au dessus de la ville et je la visiterai demain car je n'ai pas envie de remonter après la visite pour m'y installer.

Je suis devant 15 minutes avant l'ouverture. Le soleil refait son apparition et la température remonte en flèche !

Camping de Fenestrelle 

Le patron me vois devant la grille et ouvre pour que je puisse rentrer. Je m'installe à l'ombre dans ce camping déjà bien rempli. En même temps c'est le seul du coin.

Camping de Fenestrelle 

Demain route vers Turin où j'ai réservé une auberge en centre ville. J'ai perdu le numéro de téléphone de l'italien de Turin que j'avais rencontré à Calais. Ça c'est bête !

André